Message posté le 22-01-2014 à 16:40 Auteur: CASTORE@Benoit: je n'ai pas les mêmes infos.
Tu peux appeler les gens de la SACEM pour bien valider les informations, ils ont peut être des astuces à te proposer si tu présentes ton projet comme un projet éducatif, dans le cadre d'une association reconnue (les ENF).
Tous les contacts que j'ai eu avec eux ont toujours été super sympas.
Tu peux sans doute entrer dans le cadre des actions culturelles et éducatives.
Tu produis un disque pour vente à usage privé, c'est une opération ponctuelle parce que tu n'es pas une société de production (et que tu feras moins de 4600 euros de CA ).
La perception s'effectue sur le nombre d'exemplaires fabriqués.
La SACEM prend une base de 29 minutes de musique protégée.
Le prix à payer est alors
2%*15*nombre d'exemplaires fabriqués soit 30 centimes d'euros par disque.
Si tu dépasses les 29 minutes, c'est majoré au pro rata temporis.
Donc mon conseil :
*trouver des chants libres de droit (c'est le cas des chansons de nos provinces) si tu ne veux rien payer
*sinon, faire un disque de moins de 30 minutes de musique protégée pour éviter les complications.
Message posté le 24-09-2012 à 14:05 Auteur: CASTORE@Guillaume,
Ta version est un peu édulcorée
Perso, j'ai appris
La Bretagne c’est pas la France,
C’est vraiment un pays de cons.
Filez-leur leur indépendance
Qu’ils nous lâchent enfin les roustons.
Si les Bretonnes étaient bien moins niaises,
Et les Bretons un p’tit peu moins cons,
Elles s’raient fières de dev’nir françaises.
Ils f’raient mieux d’être bourguignons.
Bretagne, Bretagne, Bretagne
On t’emmerde !!!
Quant à la réponse
On s’en fout de l’armée de France,
Et de la marine à Toulon,
Nous c’q'on veut c’est l’indépendance.
Vive le front libertaire breton.
J’aime Paimpol et sa falaise.
Et le Front de Libération.
Car chez nous, y’a comme un malaise,
Faut que ça pète au pays breton.
(
Message posté le 13-09-2012 à 16:26 Auteur: CASTOREA chaque fois que je lis ce genre de prose, je soupire .
Que de clichés véhiculés encore!
En juriste, je réponds toujours qu'il y a la règle, et la jurisprudence.
Pourquoi vouloir toujours penser changer la règle, quand l'application charitable, au cas par cas, règle souvent les problèmes pour le bien de tous?
Je vous laisse méditer ce petit passage d'un billet de Natacha Trouiller, journaliste catholique
« Et à tous ceux qui vivent en couple, qui sont fidèles à leur conjoint de même sexe ou qui, dans un second mariage après un divorce, essayent comme chacun d'entre nous d'unifier leur foi et leur vie de tous les jours, je dis avec force : non, l'Eglise ne vous exclut pas. Le jeûne eucharistique à laquelle elle nous invite tous lorsque nos actes ne nous rapprochent pas davantage du Christ ne nous jette pas du côté d'hypothétiques impurs, mais nous offre au contraire de communier plus étroitement avec tous ceux qui, de par le monde, souffrent de famine eucharistique, qui ne peuvent matériellement communier au Corps et au Sang du Christ, faute de prêtres ou à cause de persécutions ; avec tous ceux qui ne connaissent pas le Christ et n'en sont pas moins des témoins pour l'humanité. Portons la tête haute et avec fierté cette faim eucharistique qui signe mieux que n'importe quoi d'autre le fait que nous ne revendiquons pas le sacrifice de Jésus comme un droit mais comme une grâce. Soyons pour tous nos frères qui communient par habitude, sans s'interroger sur le sens de ce à quoi ils s'engagent en le faisant, l'interrogation vivante de leurs propres contradictions, comme ce jeune homme inconnu qui s'est avancé un dimanche dans la file des communiants bras croisés sur la poitrine et qui m'a convertie. Soyons des saints, en quelque sorte, que nous communiions ou pas. »
Message posté le 11-04-2012 à 17:30 Auteur: CASTOREA priori ecrit en grec.(Apocalypse est le premier mot du livre = révélation en grec)
Mais la symbolique hebraïque y reste forte, car le genre littéraire de l'apocalypse est celui des écrits en temps de persécution, un genre qui a fleuri après l'exil à Babylone.
Le 3 , dans la tradition hébraïque, symbolise l'homme
*esprit : rapport de l'homme avec Dieu
*personnalité : rapport de l'homme avec lui-même
*chair : rapport de l'homme avec les autres
Je ne sais si le 1/3 symbolise la rupture, comme énoncé par Ocelot, de ce symbole de l'humanité...
Message posté le 23-03-2011 à 14:57 Auteur: CASTOREL'espace marin n'a pas de "frontières" au sens habituel du terme.
Jusqu'à une distance de 12 milles des cotes (environ 19 km)le territoire est directement sous juridiction nationale, c'est la mer "territoriale" (ce qu'on appelle en France le domaine public maritime).
Entre 12 milles et 200 milles, c'est la ZEE (zone économique exclusive) d'un pays (convention de Montego Bay) dans laquelle l'Etat exerce des droits en matière d'exploration et de gestion des ressources.
Ce qui figure sur les cartes marines, c'est généralement la limite des 12 milles.
Message posté le 01-02-2011 à 09:28 Auteur: CASTOREOui, la première douleur de la Vierge, c'est l'annonce dès l'enfance de Jésus que ce dernier est appelé à souffrir...et faire souffrir, donc, sa mère.
Le culte marial, et notamment celui de la Vierge aux douleurs, a surtout pris son essor au XIII ème siècle.
Le chapelet des 7 douleurs, indiqué par Ocelot, répond à ta question sur la place que tient la méditation de ces épisodes dans la théologie de l'Eglise.
Il est connu depuis le XIV ème siècle et a été diffusé via la Rhénanie
Il possède 59 grains, ou 52 grains et 7 médailles représentants les 7 douleurs de Marie à méditer.
Recemment, c'est au Rwanda (Kibeho)que la Vierge est apparue (apparition reconnue par l'Eglise locale)pour recommander la récitation de ce rosaire "pour la conversion du cœur de ceux qui se sont éloignés de Dieu, et pour être humbles en demandant pardon et en pardonnant"
avant le génocide
C'est le rappel que personne n'arrive au ciel sans souffrir.
Méditer sur la douleur, c'est méditer sur la grâce
un petit lien ici sur la fête de ND des 7 douleurs le 15 septembre, avec pas mal de références historiques
l'auteur de l'article Mgr Masson, est un lorrain dont j'ai pu apprécier l'érudition et la vivacité d'esprit.Il est hélas décédé...
Message posté le 17-12-2010 à 15:28 Auteur: CASTOREJ'aime beaucoup le blogue d'Edmond Prochain
D' après lui, voici comment les journaux auraient pu écrire l'Evangile "à la une"
Insolite : Une femme accouche dans une étable. (Le Parisien / Aujourd’hui en France)
De retour de Bethléem, le témoignage bouleversant de Balthazar. (Paris Match)
Hérode : un règne sur le déclin ? (Point de vue)
Vierge et mère : c’est possible. (Elle)
Que faire quand l’enfant fugue ? (Parents)
Nazareth : un foyer presque ordinaire. (Famille chrétienne)
Style : Oser la peau de chameau. (GQ)
Jésus : Le scandale autour de sa naissance ! (France dimanche)
Tentation : l’échec. (Rock & Folk)
L’eau changée en vin, comment ça marche. (Science et vie)
Les reconversions en plein boom. (Les Echos)
Lévi : « Pour lui, j’abandonne tout. » (VSD)
Retrouver l’essence du judaïsme. (Réforme)
Spécial amitié : tout est possible ! (Le Journal de Mickey)
Pharisiens et Francs-Maçons. (Le Point)
Spiritualité(s) : Le grand réveil. (La Vie)
Disciples : les meilleures filières. (L’Etudiant)
Antiennes paraboliques. (20 minutes)
Intrigante Galilée. (Géo)
Marie-Mad : de catin à catho… la cata ! (Charlie Hebdo)
Le Nazaréen : jusqu’où peut-il aller ? (Le Nouvel Observateur)
Jésus de Nazareth. Les photos de sa sainte colère. (Public)
« Détruisez ce temple ? » Enquête auprès des nouveaux iconoclastes. (Marianne)
Faut-il repenser le système religieux ? (La Tribune)
Jésus peut-il vraiment être le Messie ? (Le Monde diplomatique)
Pierre : « Oui, j’irai jusqu’au bout. » (Le JDD)
Pourquoi l’obole de la veuve vaut davantage. (L’Expansion)
Isaïe, le prophète qui nous parle aujourd’hui. (Historia)
L’amour en héritage. (Télérama)
Marcher sur l’eau ou rester dans la barque ? (Réponse à tout)
Pour qui se prend-il ? (Minute)
« Lève-toi et marche ! » (L’Equipe)
C’est l’hallu finale ! (Libération)
Le grand classement des meilleurs guérisseurs. (L’Express)
Vers une réforme de la législation en matière d’adultère. (Le Monde)
Marthe et Marie : les amies fidèles. (Gala)
Qui sait où il nous mène ? (La Croix)
Rencontre avec Jean : La lumière et la grâce. (Panorama)
Le choc Barabbas. (Les Inrockuptibles)
Christ. Pourquoi il inquiète les prêtres. (Valeurs actuelles)
La rébellion, oui. La religion, non. (L’Humanité)
Jérusalem, la ville éternelle. (Pèlerin)
Spécial transport à dos d’âne. (Auto-Moto)
L’entrée triomphale ! (Le Figaro)
Mon fils, ce héros. (Notre temps)
Célébrer la Pâque entre amis. (Arts et décoration)
Jésus / Judas : le torchon brûle ! (Closer)
Les meilleurs placements en deniers. (Capital)
La trahison. (Métro)
Sale temps pour les prophètes. (Courrier international)
Ecce homo ? (Voici)
Torturé atrocement en public. (Le Nouveau détective)
15h. Le rideau du temple se déchire. (France Soir)
Et le Verbe a pris cher… (Le Canard enchaîné)
Les espoirs brisés. Comment ils nous accablent, comment on s’en relève. (Psychologies magazine)
Tout sur la technique du suaire. (Photo)
Il est vivant ! (Il est vivant)
Pierre s’empare des affaires… mais de quel droit ? (Golias)
Le christianisme a-t-il un avenir sans le Christ ? (Témoignage chrétien)
L’Évangile : le scénario que tout Hollywood s’arrache. (Studio-Ciné-Live)
et les ajouts des commentateurs
Pour un mariage, du cubi à la jarre (Cuisine et vins de France)
Jésus remporte une écrasante victoire contre le péché.(l'Equipe)
Un Homme nouveau ! (L’Homme Nouveau).
Proclamez à toute la Création (L’écologiste)
Il faut qu’il croîsse et que je diminue (La Décroissance)
Innovation : trier le bon grain et l’ivraie » (France Agricole)
Jésus, Fils de Dieu : les nouvelles formes de parentalité (Famili)
Un juif pardonne à une prostituée. La validité de l’absolution en question (Revue de droit canonique)
Les nouveaux commandements au banc d’essai(Que choisir)
Le nouveau culte, point par point(Signes d’Aujourd’hui)
Bouleversements climatiques : tempête sur le lac de Galilée (Meteo Magazine)
Alternative en Palestine : une piécette vaut plus qu’un sac d’or (Alternatives économiques)
Le complot juif (Présent)
Message posté le 02-12-2010 à 08:09 Auteur: CASTORE Ca s'appelle une ligature
*Si ça se prononce « é » ( Œdipe, œdème, œnologie, œnologue,fœtus c'est que ces noms sont d'origine grecque, ils étaient formés avec une double voyelle [oi]
*Si ça se prononce « eu » (bœuf, chœur, cœur, œuf, mœurs, nœud, œil, sœur, vœu) c'est que ce sont des mots d'origine latine, la lettre « o » est étymologique, elle a été ajouté à la Renaissance pour indiquer la filiation de ces mots avec les dérivés d'origine savante : bovin, choral, cordial, ovaire, moral, nodosité, oculaire, sororal, voter.
On prétend aussi que les monosyllabes nécessitaient l'emploi de quatre ou cinq lettres afin d'obtenir un mot suffisamment lisible par l'œil. Ainsi le mot « uef » devint-il « œuf »
Message posté le 01-12-2010 à 17:16 Auteur: CASTORESurtout après avoir fait une formation "sensibilisation du monde de l'entreprise face au handicap" et où on apprend
*qu'il y a 5 grandes "familles" de handicap : moteur,mental, visuel, auditif et psychique...
*que le statut de "personne handicapée" au sens de la Législation recouvre un vaste domaine
Constitue un handicap, ... toute limitation d'activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d'une altération substantielle, durable ou définitive d'une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d'un polyhandicap ou d'un trouble de santé invalidant. " Article 114 loi du 11 février 2005.
*quelques chiffres significatifs pour la France
-5 millions de personnes handicapées en France, dont 2 millions de personnes à mobilité réduite.30% des déficiences motrices sont d'origine accidentelle
-Le nombre de personnes en situation de déficience motrice est estimé à 7,4 millions
-1,2 million de personnes de plus de 16 ans déclarent à la fois une ou plusieurs incapacités, une restriction d'activité.
-On compte actuellement environ 7500 étudiants handicapés
-4,092 millions de personnes sont atteintes de déficience auditive dont 80 000 pratiquent la langue des signes.
-600 000 personnes malentendantes portent un appareil de correction auditive.
-207 000 personnes sont aveugles ou profondément malvoyantes.
-L'espérance de vie des personnes porteuses de trisomie 21 est passée en 15 ans de 25 à 49 ans (en 2002) et leur longévité progresse de 1,7 an par an.
-80 000 personnes sont autistes.
Message posté le 05-11-2010 à 15:26 Auteur: CASTOREDésolée de te contredire, mais si .
Le samaritain a bien établi une relation personnelle avec le blessé : il l'a pansé, transporté;
Il n'a pas juste envoyé un chèque à Caritas ou à médecins sans frontières.
Très franchement, tu fais un mauvais procès à Zebre sur ce coup là.
Il ne dit pas que nos proches doivent avoir l'exclusivité de notre charité, mais bien la primauté dans l'ordre des urgences.
Si ton fils est cloué au lit et qu'il a besoin de toi, il est normal que tu ailles le voir plutôt que de dépanner un scout même ami à l'autre bout de la France.
Il est parfois plus facile d'envoyer un chèque que de prendre une heure de son précieux temps pour visiter quelqu'un à l'hopital.
Etablir une relation personnelle est quelquefois un véritable exploit dans notre monde individualiste.
Message posté le 05-11-2010 à 09:43 Auteur: CASTOREJe ne voudrais pas être hors sujet, mais la Doctrine sociale de l'Eglise définit assez bien le droit de propriété
*c'est un droit naturel, nécessaire pour la vie de l’homme, affirmé contre la collectivisation des biens
*c'est un droit pour assurer la famille contre la précarité
*c'est un droit lié au travail
*c'est un droit qui n’est pas absolu : il est limité par la « destination universelle des biens » et par une « hypothèque sociale " ( Nul n'est fondé à réserver à son usage exclusif ce qui passe son besoin, quand les autres manquent du nécessaire)
*en conséquence, c'est un droit qui est légitimement régulé par l’Etat en référence au bien commun
En ce qui concerne les héritages, Leon XIII, dans Rerum Novarum dit ceci
Citation: Ce droit de propriété que Nous avons, au nom même de la nature, revendiqué pour l'individu, doit être maintenant transféré à l'homme, chef de famille.. La nature impose au père de famille le devoir sacré de nourrir et d'entretenir ses enfants. De plus, comme les enfants reflètent la physionomie de leur père et sont une sorte de prolongement de sa personne, la nature lui inspire de se préoccuper de leur avenir et de leur créer un patrimoine qui les aide à se défendre honnêtement dans les vicissitudes de la vie, contre les surprises de la mauvaise fortune. Or, il ne pourra leur créer ce patrimoine sans posséder des biens productifs qu'il puisse leur transmettre par voie d'héritage.
Comme d'hab, la vertu se situe donc au milieu
petit clin d'oeil à Dingo : dans la parabole du fils prodigue, c'est bien sa part d'héritage que le fils réclame ?
Je ne vois pour ma part aucune incompatibilité entre le devoir envers ses proches et la nécessaire charité envers son prochain non consanguin
Et je remercie la sagesse de l'Eglise de ne prendre aucune position sur les moyens à mettre en oeuvre pour aboutir à une justice sociale : en la matière, nous avons des obligations de résultat qu'Elle nous rappelle, encadrés par des principes .C'est déjà pas mal pour essayer de faire mieux.
Message posté le 18-10-2010 à 11:59 Auteur: CASTOREZebre: il y a méprise sur le terme "lié" quand on dit "homosexualité et sida sont liés"
*Au sens médical, il existe bien des "populations à risques" connues par les praticiens.
Les homosexuels en font largement partie, les drogués etc...comme l'a rappelé Isatis, hélas, les hémophiles aussi et l'ont payé cher.
*au sens vecteur de transmission, l'épidémie a eu un impact très important sur la manière dont ont été conduites les recherches sur la sexualité. L'épidémie touchant particulièrement des populations déjà stigmatisées(homosexuels, usagers de drogues, trans, prostitué-e-s...), les recherches ont été dirigées par des préoccupations épidémiologiques liées à la transmission sexuelle du sida : on a donc beaucoup investigué sur les pratiques sexuelles « à risque » telles que la pénétration . Forcément, on dispose donc de beaucoup plus de statistiques sur ce sujet.
Aujourd'hui, on étudie aussi les réseaux sexuels, les sexualités des personnes trans, la mobilisation dhomosexuels originaires dAfrique subsaharienne...
Il faudrait retrouver les actes d'un colloque récent (juin 2010 je crois) une journée complète a été consacrée au rapport SIDA/homosexualité.
*par contre si lié voulait dire que le réservoir du virus du Sida seraient les homosexuels, ce serait un contresens abominable. Pour mémoire, le réservoir a été indentifié chez les singes africains voir les études de l'INSERM
Message posté le 12-10-2010 à 09:19 Auteur: CASTOREl'autre solution : la machine à voyager dans le temps consiste à entrer dans un tableau de l'époque où on veut aller.Il faut donc un cadre et les loups peignent sur une nappe en papier, par exemple, le décor de leur future aventure. Le jour J, on pénètre dans le décor qui est habilement découpé d'une porte (ex: le chateau fort: par le pont levis etc)
je suis claire ?
Message posté le 30-09-2010 à 16:49 Auteur: CASTOREpour Mayeul et sa private Joke, extraits de la somme de St Thomas
Que signifie ce mot de transsubstantiation? - Il signifie précisément le passage ou le changement de toute la substance du pain à la substance du corps de Jésus-Christ, et de toute la substance du vin à la substance du sang de Jésus-Christ.
- Comment peut se faire ce passage ou cette transsubstantiation? - Par la seule toute-puissance de Dieu (III 75,4).
- N'y a-t-il que la substance du pain, et la substance du vin, qui soient ainsi changées au corps et au sang de Jésus-Christ; ou bien est-ce tout le pain et tout le vin qui le sont? - Ce n'est que la substance du pain et la substance du vin; et leurs accidents demeurent (III 75,2 ad 3).
- Qu'entendez-vous par ces accidents qui demeurent? - J'entends toutes ces réalités d'ordre extérieur qui permettaient à nos sens d'atteindre le pain et le vin qui étaient là précédemment; savoir: l'étendue ou la quantité avec sa forme ou sa figure, la couleur, le goût, les propriétés de résistance et le reste du même ordre.
- Pourquoi les accidents du pain et du vin demeurent-ils? - Les accidents du pain et du vin demeurent pour nous assurer la présence sacramentelle du corps et du sang de Jésus-Christ (Somme contre les Gentils, SCG 4,63).
- Qu'arriverait-il si les accidents du pain et du vin étaient, eux aussi, changés au corps et au sang de Jésus-Christ? - Il s'ensuivrait qu'il ne resterait plus rien ici, mais que ce qui était ici du pain et du vin aurait été changé au corps et au sang de Jésus-Christ (Ibid.).
- Et que s'ensuit-il, au contraire, de ce que les accidents du pain et du vin demeurent, alors que leur substance a été changée au corps et au sang de Jésus-Christ? - Il s'ensuit que le rapport qu'avait, à ces accidents, leur substance, le corps et le sang de Jésus-Christ, moyennant leur substance, l'ont désormais; de telle sorte que, comme avant la transsubstantiation, en ayant ces accidents, nous avions la substance du pain et la substance du vin, nous avons maintenant, selon le mode de leur substance, tout ce qui est du corps et du sang de Jésus-Christ (Ibid.).
- Est-ce le corps et le sang de Jésus-Christ tels qu'ils sont en eux-mêmes et dans leur réalité identique que nous avons ici en vertu de la transsubstantiation? - Oui; c'est le corps et le sang de Jésus-Christ tels qu'ils sont en eux-mêmes et dans leur réalité identique que nous avons ici en vertu de la transsubstantiation (III 75,1).
- Jésus-Christ tout entier est-il dans ce sacrement? - Oui, Jésus-Christ tout entier est dans ce sacrement; avec ceci pourtant que sous l'espèce du pain, en vertu des paroles sacramentelles, ne se trouve que le corps; et, sous l'espèce du vin, ne se trouve que le sang; mais, par voie de concomitance et parce que maintenant le corps et le sang de Jésus-Christ ne sont plus ni ne peuvent plus être séparés, comme ils le furent sur la croix, où se trouve le corps se trouvent aussi le sang et l'âme, et où se trouve le sang se trouve aussi le corps uni à l'âme. Quant à la personne et à la divinité du Fils de Dieu, depuis l'incarnation, elles n' ont jamais été séparées d'aucune des parties de la nature humaine de Jésus-Christ, non pas même quand le corps et l'âme étaient séparés l'un de l'autre par la mort sur la croix (III 76,1-2).
- Jésus-Christ est-il tout entier sous chaque partie de l'espèce du pain et sous chaque partie de l'espèce du vin? - Oui, Jésus-Christ est tout entier, tel qu'il est en lui-même, sous chaque partie de l'espèce du pain et sous chaque partie de l'espèce du vin; avec ceci que l'espèce du pain ou l'espèce du vin demeurant indivise, Jésus-Christ n'est sous chacune d'elles qu'une fois, et qu'il est, au contraire, sous chacune de ces espèces, autant de fois qu'on en fait de parties quand on les sépare ou qu' on les divise (III 76,3).
- Peut-on atteindre le corps de Jésus-Christ selon qu'il est en lui-même quand on atteint les espèces ou accidents eucharistiques du pain et du vin? - Nullement; parce que ces accidents ne sont pas les accidents du corps de Jésus-Christ, par lesquels seulement nous pourrions atteindre sa substance (III 75,4-8).
- Que s'ensuit-il de cette vérité? - Il s'ensuit que les accidents eucharistiques du pain et du vin sont tout ensemble ce qui nous livre le corps de Jésus-Christ et ce qui le met à l'abri; de telle sorte que s'il est des méchants qui veuillent profaner le corps de Jésus-Christ dans son sacrement, c'est bien le sacrement qu'ils profanent, mais ils ne peuvent atteindre le corps de Jésus-Christ en lui-même.
- Ces accidents eucharistiques du pain et du vin demeurent-ils toujours à l'état d'accidents eucharistiques, après la consécration du pain et du vin? - Non; car aussitôt après la communion, ou quand ils ont été absorbés pour servir de nourriture et de breuvage, ils commencent à s'altérer et finissent bientôt par passer à un autre état. Ils peuvent aussi s'altérer et se corrompre par le simple fait des conditions atmosphériques, quand ils demeurent trop longtemps sans être renouvelés (III 77,4).
- Qu'arrive-t-il quand les accidents eucharistiques du pain et du vin cessent d'être les accidents du pain et du vin qui ont été consacrés? - Il arrive que le corps et le sang de Jésus-Christ cessent immédiatement d'être présents de leur présence eucharistique, le rapport qu'ils avaient à ces accidents et, par ces accidents, au lieu où ces accidents étaient, cessant par le fait même (III 76,6 ad 3).
- C'est donc uniquement en raison de la consécration du pain et du vin et de la permanence des accidents du pain et du vin consacrés, que Jésus-Christ est présent de sa présence eucharistique? - Oui, c'est uniquement en raison de la consécration du pain et du vin et de la permanence des accidents du pain et du vin consacrés, que Jésus-Christ est présent de sa présence eucharistique, les changements opérés dans le pain et dans le vin étant toute la raison de cette présence, sans que le corps de Jésus-Christ ait lui-même changé en rien (III 76,6 ad 3). Message posté le 30-09-2010 à 16:44 Auteur: CASTORE CONGRÉGATION POUR LE CULTE DIVIN ET LA DISCIPLINE DES SACREMENTS
INSTRUCTION
Redemptionis Sacramentum
sur certaines choses à observer et à éviter concernant la très sainte Eucharistie
LA MATIÈRE DE LA TRÈS SAINTE EUCHARISTIE
- 48 - Le saint Sacrifice eucharistique doit être célébré avec du pain azyme, de pur froment et confectionné récemment en sorte quil ny ait aucun risque de corruption. Par conséquent, le pain fabriqué avec une autre matière, même sil sagit dune céréale, ou le pain, auquel on a ajouté une autre matière que le froment, dans une quantité tellement importante que, selon lopinion commune, on ne peut pas le considérer comme du pain de froment, ne constitue pas la matière valide de la célébration du Sacrifice et du Sacrement de lEucharistie. Le fait dintroduire dautres substances dans la fabrication du pain destiné à lEucharistie, telles que des fruits, du sucre ou du miel, constitue un grave abus. Il est évident que les hosties doivent être fabriquées par des personnes qui, non seulement se distinguent par leur intégrité, mais encore sont compétentes dans ce domaine, et emploient les instruments appropriés.
- 49 - En raison du signe qui est exprimé, il convient que certaines parties du pain eucharistique, obtenues au moment de sa fraction, soient distribuées au moins à quelques fidèles au moment de la Communion. «Cependant, on nexclut aucunement les petites hosties quand le nombre des communiants et dautres motifs pastoraux exigent leur emploi», et bien plus, il est dusage davoir recours pour une grande part à des petites hosties, qui ne requièrent pas de fraction ultérieure.
- 50 - Le saint Sacrifice eucharistique doit être célébré avec du vin naturel de raisins, pur et non corrompu, sans mélange de substances étrangères. Durant la célébration de la Messe elle-même, on doit ajouter un peu deau au vin. Il faut prendre soin de conserver en parfait état le vin destiné à lEucharistie, et de veiller à ce quil ne saigrisse pas. Il est absolument interdit dutiliser du vin dont lauthenticité et la provenance seraient douteuses: en effet, lÉglise exige la certitude au sujet des conditions nécessaires pour la validité des sacrements. Aucun prétexte ne peut justifier le recours à dautres boissons, quelles quelles soient, qui ne constituent pas une matière valide.
Message posté le 09-09-2010 à 15:38 Auteur: CASTORECitation: Ton texte est intéressant castore....
Je note en effet que, PAS UNE SEULE FOIS, il n'est question de "la religion musulmane".
Non.
Abdennour Bidar parle toujours de la « religion islamique ».
Un philosophe peut-il se permettre de telles approximations sachant sans nul doute la connotation négative que possèdent les mots "islamique" et "islamisme" par rapport à "islam" ou "musulman"?
On dirait qu'il veut presque parler d'autre chose, comme si la "religion islamique" était différente de "la religion musulmane".
Non.Tout simplement parce qu'il n'y a pas d'approximation possible.Très clairement, pour A.Biddar, la religion islamique=religion de l'Islam dont les pratiquants s'appellent les musulmans.
C'est un faux débat le concernant.Il n'y a a pas de connotation "négative" à islamique, sauf peut être pour quelques journaleux...quoique ceux ci aient inventé le terme d'"islamistes" (toujours se méfier des mots en iste )
La plupart des musulmans emploient le terme Islam/religion musulmane/religion islamique pour désigner leur pratique religieuse.
Le coeur de cette pratique, c'est l'invocation, la shahada que toutes pratiques/ toutes tendances confondues on retrouve
"Je témoigne qu’il n’y a de réalité qu’Allah, et que Mohammed est son envoyé »" - ach hadou anna la ilaha illa Llah wa ach hadou anna Mouhammadoun rassoulou Llah.
Comme le dit Grizzly, l'Islam n'est pas monolithique, et heureusement pour la paix dirais-je
Personnellement, il me paraît impératif que la réflexion éxégétique puisse avoir pignon sur rue, mais c'est loin d'être gagné, pour notamment les raisons évoquées par Mayeul .
Pour aller plus loin, d'un point de vue "extérieur" à la Foi, il est très difficile pour chaque religion de bien doser les paradoxes de l'âme humaine afin qu'aucune tendance naturelle entre orgueil et humilité, entre violence et pacifisme ne l'emporte.
Pour moi, clairement, une des richesses du christianisme est d'avoir su et de continuer à savoir doser ces paradoxes afin que chacun trouve un équilibre de vie.
Les empereurs chrétiens n'ont pu porter la pourpre que parce que les ermites portaient le cilice.
L'Islam a du chemin à parcourir, et nous ne l'aiderons pas efficacement si nous le dénions.
Et le plus efficace, pour nous, c'est de nous occuper d'abord de notre prochain, nos voisins, ici, en Europe.Il peut y avoir une pensée/pratique propre aux musulmans européens.Pourquoi seraient ils condamnés à reproduire la pratique d'Arabie Saoudite, de la Turquie, du Maroc ou de l'Algérie ?
Message posté le 07-09-2010 à 12:20 Auteur: CASTOREPour avancer un peu....liste des arguments (je peux en oublier hein! )
*argument de causalité (cause première, êtres en mouvement,êtres contingents)
*argument ontologique (la pensée de Dieu implique son existence, degré de perfection des êtres)
*argument téléologique (ordonnancement du monde)avec version cosmologique( lois statistiques : peu de chance que rien fasse tout)
*argument moral (fondement ultime de la morale)
*argument anthropologique (pour "accoucher d'un etre rationnel, pensant etc...comme l'homme, il faut que son environnement soit de m^me nature )
Message posté le 05-07-2010 à 11:14 Auteur: CASTOREUn patron
tu peux aussi mettre l'unité à laquelle tu appartiens
le cri de pat bien sur
mais ne pas hésiter à écrire le nom de l'animal, sous peine de te faire appeler chamois...(la silhouette, pas toujours facile à identifier)
quelques silhouettes de PJ
Pour les dimensions, franchement, il y a d'autres traditions que celles de l'AGSE (les patrons plus haut)
Ainsi, on a aussi les adeptes du baton d'1,20 et du fanion de 26 cm par 20 de haut
Le plus "complet" que j'ai vu chez les guides comportait les mentions suivantes:
l'année de fondation de la patrouille,
son totem,
son cri,
Sa compagnie.
les flots remportés par la patrouille au cours des camps .
Message posté le 25-06-2010 à 10:45 Auteur: CASTORE
1*Le principe du micro ondes est de chauffer grace à l'agitation des molécules d'eau contenues dans les éléments (les micro-ondes ont une bande de fréquence qui coïncide avec la bande de fréquence de vibration-rotation de la molécule deau
2* L'oeuf au micro ondes, cuit très vite par ton micro ondes, n'a pas le temps de laisser s'échapper l'energie ainsi produite (petite surface et pression non équilibrée,contrairement à ce que permet l'eau pour un oeuf à la coque cuit normalement par exemple)
3*De plus, le blanc dœuf cru est une substance complexe contenant un mélange de molécules tensioactives (ayant une partie hydrophile et une partie hydrophobe) et de molécules deau. Létat du blanc dœuf dépend de sa teneur en eau et de la température. Lorsquil est à une température inférieure à 60°C les molécules tensioactives sont indépendantes les unes des autres, et les molécules deau circulent librement dans la substance(le blanc est fluide) Lorsque la température atteint 60°C les molécules se déplient formant des chaînes moléculaires qui font office de barrage aux molécules deau...(le blanc devient gélatineux, puis cuit)
Donc lorsque le micro-onde se met en marche les molécules deau contenues dans le jaune dœuf sagitent tout en restant coincé dans le cœur à cause du blanc dœuf qui est devenu impénétrable, ce qui créé une surpression à lintérieur...
Message posté le 07-05-2010 à 10:47 Auteur: CASTORELa seiche, un poisson ? qu'est ce qu'il ne faut pas lire tout de même!
la seiche est un mollusque céphalopode de l'ordre des Sepiida !!!
mais bon, je ne vais pas me faire un sang d'encre sur le sujet
Message posté le 12-03-2010 à 10:01 Auteur: CASTORECe plan figure dans mon carnet du louveteau, 1ère édition de la F.S.C (scouts belges) des années 1960-1970.
Ce carnet a été utilisé dans les 1ères meutes FSE, ce qui explique que la prière du louveteau chantée à la FSE ne soit pas celle du Père Sevin composée pour les louveteaux SdF, mais une composition de l'Abbé Bertrand, un aumônier belge
Le mieux, à mon sens, serait de redessiner ton plan à grande échelle pour pouvoir en faire des duplicatas
Message posté le 04-01-2010 à 15:34 Auteur: CASTOREJe remonte juste ce fil pour les amateurs d'archives et d'histoire, afin d'étayer leurs futurs écrits de documents incontestables
En fait, au cours d'une recherche sur le site du BEAMER (le bureau qui fait les enquêtes sur les accidents en mer) je suis tombée sur le rapport fait à l'époque.
Disponible ici
Message posté le 05-10-2009 à 12:55 Auteur: CASTORECa s'appelle des amateurs d'art
On peut voir la beauté sans savoir la créer
mais savoir la transmettre et savoir regarder
Message posté le 10-03-2009 à 16:58 Auteur: CASTOREpour une meilleure compréhension, un petit tour ici pour voir ce qu'entendait le Père Sevin par "ordre scout".
pour la concrétisation dans "l'espace" religieux, voir ce fil : ste croix de Jerusalem
et pour l'histoire "mouvementée" de cette idée ici
Message posté le 10-03-2009 à 10:25 Auteur: CASTORESauf changement récent, pour être directeur d'accueil collectif de mineurs il faut
soit être *titulaire BAFD
* stagiaire BAFD
OU titulaire ou stagiaire dun titre suivant *Diplôme d'Etat de directeur de projet d'animation et de développement (DEDPAD) ; *Diplôme d'Etat relatif aux fonctions d'animation (DEFA) ; *Diplôme d'Etat de conseiller d'éducation populaire (DECEP) ; *Certificat d'aptitude à la promotion des activités socio-éducatives et à l'exercice des professions socio-éducatives (CAPASE) ; *Brevet d'Etat d'animateur technicien de l'éducation populaire et de la jeunesse (BEATEP) spécialité activités sociales-vie locale ; *Brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport comprenant une unité capitalisable complémentaire concernant la direction des centres de vacances et de loisirs ; *Brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport spécialité loisirs tous publics ; *Brevet d'Etat d'éducateur sportif (BEES) deuxième et troisième degré ; *Brevet d'Etat d'alpinisme ; *Brevet d'Etat d'éducateur sportif option animation des activités physiques pour tous (BEESAPT) ; *Diplôme universitaire de technologie (DUT) spécialité carrières sociales, option animation sociale et socioculturelle ; *Diplôme d'études universitaires scientifiques et techniques (DEUST) animation ; *Diplôme d'Etat d'éducateur de jeunes enfants ; *Diplôme d'Etat d'éducateur spécialisé ; *Diplôme d'éducateur de la protection judiciaire de la jeunesse ; *Moniteur chef interarmées d'entraînement physique, militaire et sportif ; *Certificat technique branche entraînement physique et sportif ; *Diplôme professionnel de professeur des écoles ; *Certificat d'aptitude pédagogique d'instituteur ; *Certificat d'aptitude au professorat ; *Agrégation du second degré ; *Certificat d'aptitude aux fonctions de conseiller d'éducation ou conseiller principal d'éducation ; *Attestation du suivi avec succès de la formation préalable à la titularisation en qualité de conseiller d'éducation populaire et de jeunesse ou de professeur de sport, de conseiller technique et pédagogique supérieur ; *Diplôme d'Etat de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport ; *Diplôme d'Etat supérieur de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport ; *Diplôme d'études universitaires scientifiques et techniques (DEUST) animation et gestion des activités physiques, sportives et culturelles ; *Licence animation sociale, éducative, culturelle et des loisirs.
En accueil de loisirs accueillant plus de 80 enfants pour une durée de plus de 80 jours, le directeur doit être en plus inscrit au répertoire national des certifications professionnelles
Message posté le 05-03-2009 à 09:47 Auteur: CASTOREDonc en résumé, ce que je comprends
*l'ancienne équipe a oeuvré pour faire de l'AGSE une association "présentable" en appuyant énormément sur la communication externe et en nettoyant en interne
*Mais en "oubliant" complètement de le faire en interne de façon "transparente", en s'assurant de la bonne compréhension par tous de ses choix et de sa façon d'agir.
D'où méfiance, inquiétude et crise.
L'image qui me vient à l'esprit, c'est celle de la bombe à retardement.
Mais 10 ans pour s'en rendre compte, c'est long.Ca veut dire qu'ils avaient les pleins pouvoirs et la confiance absolue (la gravité de la crise actuelle en témoigne.)
Un moyen d'analyser pour rebondir peut être: *reprendre point par point ce qui a été fait en 10 ans, objectivement, et pointer ce qui sort du cadre du mandat et nécessite un débat de fonds qui n'aurait pas été fait en CA à l'époque. Bref, un vrai bilan, au delà du "ressenti".
Luc : Penser que la crise des années 2000 n'appelait qu'une seule réponse, celle que tu défends me paraît aussi très réducteur.
Message posté le 03-10-2008 à 09:04 Auteur: CASTORELa prière AGSE est en fait la prière des louveteaux belges de la réforme des carnets de 1967, composée par l'abbé Bertrand, alors aumônier fédéral de la FSC.
Elle est très connue, alors que paradoxalement, elle n'est plus utilisée chez les scouts belges en question.
La prière initiale chez les SDF, avant celle citée par Dingo, a été composée par le Père Sevin, elle est toujours utilisée chez les scouts de Doran mais sur un autre air que celui initialement proposé.(O St enfant Jésus, nous vous donnons notre coeur tout entier)
Bref, pas vraiment d'unité scoute de ce coté là, quoique que tu ais pu en penser!
Message posté le 28-07-2008 à 11:12 Auteur: CASTOREallez Akela, histoire de compléter ton casse tête : tu parles de Lambert étendu, ou de Lambert I, II, III, IV ?
en fait, c'est une histoire de projection, donc de distorsions éventuelles.A l'échelle où tu veux t'en servir, ça a + ou - d'importance.Ces distinguos sont utiles pour les topographes qui travaillent au cm près (calage d'un plan cadastral sur une carte IGN par exemple)
si c'est pour ton raid de pat, tu t'en contrefiches un peu, il suffit en général de rajouter ou soustraire les °ou ' qui vont bien...
Ex pour passer du WGS 84(positionnement GPS du navire) à l'ED50 (carte SHOM) dans l'estuaire de la Loire, tu corriges de 0,06'vers le nord et de 0,08' vers l'est
Message posté le 24-06-2008 à 20:21 Auteur: CASTOREBon les loulous, on se calme
Concernant les SGDB : il était une fois un chef SGCDF qui avait une unité à Melun.
A la suite d'une remarque concernant l'encadrement et la sécurité des activités, faite par son commissaire général, il prit la mouche et s'en fut fonder son association.
Celle ci végéta jusqu'aux sacres de Mgr Lefebvre.
A cette époque, les scouts et guides catholiques prirent une position qui mécontenta moultes de leurs unités.Les uns voulant qu'on se rattachât exclusivement à la FSSPX, les autres qu'on s'en détachat expressement.
Mais le comité directeur et l'AG décidèrent que ces querelles de clochers n'avaient pas à interférer avec le scoutisme, et qu'on demandait juste aux unités d'assurer la pratique du rite tridentin, quelque fut la couleur de leurs aumôniers.
Certains ne voulurent pas se compromettre, et des unités allèrent grossir qui les SGDB,qui les SUF (et oui) ou m^me fondèrent leur propre association.
Vint Perros Guirrec, et les SGCDF maigrirent encore un peu.
Les scouts de Doran furent alors créés, pour repartir sur des bases saines (coté position liturgique) entre les unités (histoire qu'on ne s'excommunie pas les uns les autres).Une partie des SGCDF (devenue ASGC suite au méchant procès des SDF) se retrouvant dans cette philosophie (en gros, pas d'obédiance religeuse envers quiconque, c'est pas les curés qui doivent dicter leur Loi) adhérèrent à cette nouvelle association.
Loup constructeur, je suis sûre que tu peux maintenant retracer l'histoire de ton parcours scout:-)
Message posté le 15-05-2008 à 14:43 Auteur: CASTOREOuais...ben on voit aussi que vous deux, là, au dessus de mon post, vous ne maitrisez pas non plus le sujet des thèses dites "créationnistes"...qui recouvrent divers courants
*les fixistes (ceux dont vous parlez, visiblement, si j'en crois les commentaires du gars Elec...)
A mon avis, y'en pas chez les cathos.St Augustin interprétait déjà les 7 jours de la Genèse de façon symbolique.....
*les autres, qui sont souvent un mélange entre
*la mouvance "Old-Earth Creationism" (vieille terre?) :ceux qui expliquent que le bing bang=l'intervention du Dieu créateur
*la mouvance créationiste évolutionniste : explique que rien dans la Bible ne s'oppose aux théories de l'évolution .Dans cette mouvance, les partisans du "dessein intelligent"
*ceux qui défendent la théorie de la "logique interne".Ce n'est pas du créationnisme à proprement parlé, à mon sens, mais les fondamentalistes de l'évolutionnisme leur font la vie dure dès qu'ils veulent s'exprimer.Parmi eux, Anne Dambricourt Malassé, dont je parlais plus haut.
En fait, le mot créationniste comme celui d'évolutionniste est utilisé non plus dans le domaine de la science, mais pour distinguer deux conceptions de l'humanité.
Et c'est bien là que le bât blesse.
POur moi, c'est mélanger deux plans: le plan scientifique et le plan philosophique.
Certains veulent, au nom des théories évolutionnistes, dicter une vision de l'individu avec un pretexte scientifique qui aboutirait à faire de l'homme le produit accidentel et dépourvu de sens de l'évolution .
L'Eglise catholique n'a pas à de débattre des mécanismes de l'apparition de l'homme, mais à s'opposer à ce que ces mécanismes définissent la façon dont l'homme est considéré.
Bref, si on veut en rester au débat scientifique, c'est entre théories de l'évolution et théorie de la logique interne qu'il faudrait débattre aujourd'hui.
De toutes façons, ce n'est pas aussi simple que ce que l'on traduit généralement.
C'est peut être un subtil mélange des deux...
Message posté le 10-07-2007 à 10:31 Auteur: CASTOREPerso, j'en ai testé pas mal :
-le plantain : efficace, à condition d'écraser la plante et qu'elle ait pas mal de suc (du jus bien vert, quoi...)
-le raifort: JE DECONSEILLE, car on peut confondre très facilement raifort et cigue...même si la racine de cigue juste appliquée sur la peau ne risque pas de provoquer grand mal, je pense qu'il ne vaut mieux pas trop jouer avec ces plantes là (les ombellifères, en général, demandent une bonne habitude avant utilisation)
menthe,mélise,tilleul, serpolet, thym,fenouil,camomille : rien à dire sur les infusions.Sans risque.Le thym est aussi un antidépresseur, mais je suppose à haute dose! c'est aussi excellent quand un mal de gorge commence.
l'arnica : difficile de le cueillir, c'est une plante protégée dans beaucoup de départements
On le trouve en pharmacie...
tussilage surtout efficace au printemps.Après, la feuille est sèche assez vite.
J'ai plein d'autres en tête, faudra que je prenne le temps de vous décrire cela
en cas de verrue : appliquer le suc jaune de la Chelidoine, une plante rudérale vraiment très très commune, tous les jours jusqu'à disparition.
Message posté le 06-02-2007 à 14:36 Auteur: CASTOREpour aller un peu plus loin, voilà quelques réflexions...issues d'une proposition de Loi qui n'a pas abouti (30 mai 2000)
Les lois de 1975 et de 1979 relatives à l’IVG avaient prévu un certain nombre de mesures destinées à informer la femme enceinte se posant la question de l’IVG sur les moyens de mener à terme sa grossesse. De nombreux entretiens et enquêtes font apparaître que l’entretien pré-IVG est de qualité variable , qu’il est très rapide et qu’il n’informe pas suffisamment la femme enceinte des conditions et conséquences de l’IVG. De manière générale, les femmes enceintes sont très peu informées du soutien qu’elles peuvent obtenir si elles sont en détresse. Le guide d’information qui devait être actualisé tous les ans ne l’est pas ; il est rarement distribué. Enfin, les commissions d’aide à la maternité prévues par la loi de 1979 n’ont pas été mises en place.
L’avortement est trop souvent la seule issue envisageable par la femme enceinte qui peut subir de fortes pressions économiques ou psychologiques. Le professeur Nisand rapporte que " des grossesses trop rapprochées, un état de santé déficient, un logement trop exigu pour accueillir un enfant de plus, une instabilité du couple ou une instabilité financière (mari ou concubin ou femme elle-même en voie de licenciement, au chômage ou RMI comme seul revenu) sont les principales causes de la demande d’IVG ". On ne peut que regretter de constater que dans un pays développé comme la France un grand nombre des causes évoquées sont des causes économiques (chômage, peur du licenciement, logement, crainte de ne pas pouvoir subvenir à long terme aux besoins de l’enfant).
S’y ajoutent les raisons psychologiques , notamment pour les femmes seules qui souffrent du regard porté par la société sur leur grossesse, qui se retrouvent isolées à un moment où elles sont plus faibles et ont besoin d’être entourées.
Les difficultés qu’elles ont pour concilier leur vie familiale et leur vie professionnelle les rendent hésitantes à mener leur grossesse à terme ; toute initiative visant à harmoniser et mieux équilibrer les conditions de travail des femmes et à changer le regard des entreprises sur les femmes enceintes contribuera à développer une société plus accueillante à la femme enceinte.
La pression sociale, conjugale ou familiale peut conduire les femmes à se résigner à l’avortement malgré elles. De plus en plus de femmes évoquent par ailleurs des pressions médicales ou de leur entourage en faveur d’une IVG pour motif thérapeutique en cas de risque de handicap pour l’enfant ; ces pressions s’avèrent particulièrement traumatisantes dans des circonstances déjà extrêmement douloureuses.
La loi devrait réaffirmer qu’aucune pression ne doit être exercée sur la femme enceinte pour l’inciter à avoir recours à l’IVG . L’avortement est rarement un choix libre et volontaire ; il apparaît le plus souvent comme la seule issue possible. " L’avortement reste bien l’expression d’une contradiction entre le désir des femmes et les réalités sociales, économiques et familiales "
Les conséquences psychologiques de l’avortement pour la femme et son entourage sont trop souvent méconnues, ignorées et dissimulées.
L’avortement se traduit souvent par une très grande souffrance qui peut se révéler de nombreuses années plus tard. Il peut être à l’origine de divers troubles ou conflits psychologiques, tels que le chagrin, l’anxiété, l’agressivité, la colère contre soi, le médecin ou les autres, la culpabilité, la peur, la perte de confiance en soi ou le désespoir. Cette souffrance demeure trop souvent un sujet tabou. Les femmes n’en sont pas prévenues et il n’existe aucun service pour les soutenir après leur avortement. Il est nécessaire que soit créé un service de consultation pour le suivi psychologique post-abortif à proximité de chaque établissement pratiquant des IVG et que toute femme enceinte en situation de détresse reçoive une information complète sur l’IVG et ses conséquences psychologiques.
Une femme enceinte a besoin d’être rassurée sur les moyens financiers, matériels et psychologiques dont elle dispose pour mener à terme sa grossesse et créer un foyer accueillant pour son enfant.
La loi devrait remédier à cette absence d’information. Toute femme enceinte en situation de détresse devrait recevoir une information complète sur l’IVG et ses conséquences (notamment psychologiques) ainsi que sur toutes les solutions proposées : aide matérielle, hébergement d’urgence, suivi psychologique, aide éducative à l’accueil de l’enfant, possibilité de confier son enfant à l’adoption...
De même, toute femme enceinte en difficulté devrait pouvoir être orientée vers des services d’aide, des lieux d’accueil et des centres d’hébergement d’urgence :répertoire des aides économiques, des lieux d’accueil et d’hébergement, des associations et organismes dédiés à l’accompagnement des grossesses difficiles devrait être créé dans chaque département
Afin de rendre cette politique de prévention de l’IVG réaliste et de l’ancrer dans les besoins concrets des femmes enceintes, il serait nécessaire de créer un Fonds de prévention de l’IVG destiné à subvenir aux besoins des associations et organismes d’accompagnement des femmes enceintes en difficulté afin de les aider à mener leur grossesse à terme et après la naissance de l’enfant
La création d’un Observatoire public sur la prévention de l’IVG permettrait de faire un bilan annuel sur l’évolution du nombre d’IVG, sur les raisons qui ont conduit les femmes à avorter, sur le suivi psychologique post-abortif, sur les conséquences psychologiques de l’avortement, d’évaluer les ressources publiques accordées aux associations et organismes d’aide aux femmes enceintes et de vérifier le contenu des publications faisant référence à l’IVG.
Bonne réflexion!
Message posté le 02-02-2007 à 15:50 Auteur: CASTOREMiss Pomme : connais tu la broderie "perlée" ? c'est une technique très particulière, venue de Lunéville, il y a sans doute matière à chef d'oeuvre et à découverte d'une technique...exemple
Taguan, un chef d'oeuvre doit te faire progresser sur une technique....tu peux imaginer
*ton carnet "à l'ancienne ": tu réalises le papier, tu fabriques la reliure, et tu écris joliment à la plume (calligraphie)
*ton carnet "moderne" : tu apprends à te servir d'un logiciel de mise en page, tu découvres les techniques d'impression (ou de photocopies) ...et les techniques pour "copier" un dessin.
Un peu d'ambition !
Message posté le 25-09-2006 à 11:31 Auteur: CASTOREBOF....
Service, sport et travail manuel, j'en revendique autant pour les routiers!
En fait, je crois qu'on peut d'abord distinguer deux niveaux :
*le tronc commun à tout individu, que le scoutisme souhaite developper : homme ou femme, nous souhaitons , comme le dit Boromé, que chacun trouve sa voie.Personne ne fait alors l'économie des fameux 5 buts.
*la déclinaison des buts, qui nous renvoie alors à la spécificité de chaque sexe, et que plus ou moins inconsciemment, Dieu merci, chacun applique sur le terrain (ce qui fait que personne n'est trop déçu ! )
Pour ce qui est de la femme, objet de notre propos, cette déclinaison, outre le tronc commun qui doit prendre en compte la "nature intrinsèque" de la femme, devra prendre en compte la culture dans laquelle elle est élevée;
Ainsi, si on prend la spécificité féminine qu'est "la femme donne la vie" on pourra décliner par exemple(rapidement, c'est un bouquin qu'il faudrait que j'écrive!)
*santé : avoir un corps sain, une bonne santé nécessite des activités de plein air.
Mais ces activités sont limitées par la prudence, le corps de la femme présentant des fragilités spécifiques liées aux futures maternités .Certains sports sont peu recommandés (notamment ceux qui donnent une ceinture abdominale trop musclée)et il faut veiller plus particulièrement au squelette ches les jeunes filles .(et hop, exit le parachutisme à priori )
Respecter ses rythmes biologiques, savoir se reposer , ne pas fumer...bref, l'hygiène de vie sous l'angle "mon corps peut donner la vie"sera un axe prioritaire de travail de la pédagogie féminine.
Dans les sociétés modernes, il est reconnu que la femme ne marche pas assez et la faiblesse de certains muscles peut alors réduire la facilité d'accouchment (parlez avec les sages femmes des différences à ce niveau entre la population africaine et la nôtre..)
Elle connait aussi assez mal ses rythmes biologiques.
On pourra donc développer particulièrement ces points.
Alors que s'il s'agit de guidisme dans certains pays d'Afrique, on développera sans doute des actions visant à connaissance de l'hygiène élémentaire...
Message posté le 06-06-2006 à 13:53 Auteur: CASTORECitation: Le 2006-06-06 13:14, Luc a écrit
Pas trop en fait - Pour moi l'enfant est "vivant" qu'apres l'accouchement. A la "mise au monde". je ne suis pas sur mais je pense que c'est le depart legal de l'existence. statut du foetus ?
en fait, en droit français, non.Le foetus hérite légalement de son père décédé, par exemple.
C'est un paradoxe : il est reconnu comme vivant et héritier putatif de son père en tant que foetus, mais ne pourra user de ce droit que si il naît.
Et la loi Veil rappelle justement dans son article 1 le "droit à la vie"
(cf mon post + haut et celui de coyote puant)
Oui, une prise en charge psychologique est indispensable.Mais la prévention, c 'est mieux que le soin.Si les femmes savaient quel choc traumatique ce peut être, et quelquefois des années après, je pense que certaines y réfléchiraient à 2 fois.
Et ça commence par l'information du corps médical, car il y a en général un DENI de ce phénomène de la part des médecins.
Alors oui, menons au moins ce combat commun : appliquer "sévèrement" cette "éthique" comme dit Cesco : limitons la casse !
Message posté le 02-06-2006 à 17:42 Auteur: CASTORECitation: Le 2006-06-02 17:25, Luc a écrit
C'est quoi vos solutions ?
Car vous devez forcement les avoirs, nous sommes d'accord que condamner rien n'est plus simple ?
On peut soutenir financièrement des oeuvres de charité comme "Magnificat" une maison qui accueille des futures mamans en difficulté pour leur éviter d'avorter http://www.transvie.com/Partenaires/Magnificat/Magnifi.htm
On peut militer auprès de nos élus pour :-une application stricte de la Loi (et donc la parution des décrets d'application qui attendent depuis 30 ans)
-une information auprès de celles qui demandent un avortement sur les conséquences psychologiques et les solutions alternatives
-la mise en place d' alternatives pour les mères en détresse
-l'information réelle sur l'amour responsable auprès des jeunes
-une législation sur l'adoption plus souple
et tu peux aussi aller lire le fuseau "avortement", on a pas mal développé ces points laisse nous le temps de taper nos post, entre 17h25 et 17h33, tu nous prends pour le lucky luke du clavier !
Message posté le 02-06-2006 à 14:32 Auteur: CASTOREun petit rappel juridique, quand même...
"la femme enceinte que son état place dans une situation de détresse" peut demander à un médecin l'interruption de sa grossesse.
.(art L2212-1du code de la santé)
Par ailleurs,la Loi réaffirme que - "La loi garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie. Il ne saurait être porté atteinte à ce principe qu'en cas de nécessité et selon les conditions définies par la présente loi.
(art 1 de la loi dite "Loi Veil")
Dans les statistiques de l'INED, le nombre d'IVG HORS IMG (donc hors cas médicaux) est évalué à 200 000 (198700 en 2001)
Le droit à l'avortement, en France, consiste donc à reconnaitre à 200 000 personnes une situation de détresse permettant de tuer un être humain.
En général, on t'oppose : mineures et viols (les cas médicaux sont dans les IMG, pas les IVG)
Sur ces 200 000, 10153 avortements de mineures.Reste 190 000 viols ????
Pach, c'est quoi, la tolérance face à ces chiffres?
Ne devrait on pas s'accorder à éviter l'immense gâchis de ces avortements?
j'ai déjà écrit longuement sur le fuseau avortement.
Je suis pragmatique : on ne veut pas remettre en cause l'avortement avec toujours le même refrain: handicapés, femmes violées, mineure gâchant sa vie.
Soit, commençons par restreindre à ces réels cas, et tu verras la réaction des associations féministes (je suis propriétaire de mon corps!!!)
Elles s'en fichent, des dégâts psychologiques , du syndrome post abortif.
Et ce sont les mêmes qui ne veulent absolument pas qu'il soit fait de publicité dans les services hospitaliers sur les associations d'aide aux mères en difficulté (ce qui est pourtant inscrit dans la Loi.On attend toujours les décrets d'application...) Commençons par faire paraître les décrets d'application de la Loi Veil permettant aux associations d'aide aux mères en détresse de faire un peu de boulot pour éviter ce gâchis.
Commençons donc par tolérer l'action de ces associations !
Message posté le 06-02-2006 à 15:30 Auteur: CASTOREAllez, Mikross, pour le fun...quelques points sur l'histoire du "travail des femmes" (hors milieu agricole)
*XII ème siècle (Moyen age, considéré comme l'apogée de la société chrétienne, sanglots longs dans la voix des cathos un peu nostalgiques ) : la femme est médecin, meunier, commerçante...certains métiers réservés aux femmes sont regroupés dans des corporations dirigées par des femmes
(cf Regine Pernoud, la femme au temps des cathédrales)
*Renaissance : belles thèses humanistes...Réforme...mais curieusement, les femmes disparaissent de la tête des corporations.A la fin du XVI ème siècle, ne reste que trois corporations féminines, dirigées...par des hommes.
*XVIII ème siècle : la femme, travaillant en dehors de chez elle ,est considérée comme de mauvaises moeurs...
*Philosophie des lumières : Rousseau renvoie la femme à ses foyers (non, non, ce n'est pas Landru)
La révolution française est peut être égalitaire, mais surtout pour les hommes...(en passant, quelle est l'origine de la fortune de Voltaire, hum????)
*XIX ème siècle : petit bourgeois et pudibon...on n'a pas fini de s'en remettre.
Bref, on ne peut pas vraiment dire que la religion catholique opprime la femme en France, le degré de sa liberté dans le travail étant inversement proportionnel à l'état de religiosité du pays....
Message posté le 02-01-2006 à 17:45 Auteur: CASTOREréponse apportée par Choc ici
Message posté le 22-11-2005 à 18:34 Auteur: CASTOREPour moi, la réponse est clairement OUI.
La Loi scoute, les principes, la devise sont en effet une excellente REGLE DE VIE.
Il existe une véritable spiritualité du scoutisme, que l'on pourrait résumer ainsi (résumé largement inspiré du père Forestier)
« la jeunesse d’âme qui admire et sait entreprendre.
le sens du service gratuit, la vie d’ascèse .
Les spontanéités vertueuses : bien agir, s’adapter aux circonstances
L’amour de la nature, qui entraîne la noblesse d’âme et l’admiration pour le Créateur
L’amour de l’ordre ( tout est en ordre en vue de la paix)
La vie héroïque ( connaissances des saints et des héros et leur imitation)
La ressemblance recherchée avec les enfants qui exclut l’artifice et la pose, au profit des petites choses et du jeu. Dans le jeu on voit la morale du bien et du mal. Le jeu engendre aussi la joie
Le parti pris de la bonne humeur et l’abandon à la Providence, notre célèbre joie scoute. »
Message posté le 28-06-2005 à 17:45 Auteur: CASTORE image redimensionnée
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Message posté le 21-06-2005 à 10:04 Auteur: CASTOREMerci de mettre les références du texte, Elimelech, parce que bon nombre d'ouvrage de "vulgarisation" sur le scoutisme ont pieusement recopié des sources pas toujours fiables (notamment sur la traduction des différents surnoms de BP, voir le fuseau sur le sujet dans "Totems", alors, pourquoi pas sur le mot jamboree)
Old G: j'aime beaucoup ton explication sur l'argot de jamboree signifiant "bruit etc.", car il se rapproche aussi du vocabulaire musical.
pour le jazz : la Jam session (traduction française : un Boeuf): session informelle (à l'abri des oreilles indiscrètes, notamment de celles de l'industrie phonographique) où des musiciens vont jouer ensemble pour se faire plaisir selon des modalités qu'ils choisissent entièrement eux-mêmes.
mais y a t'il un rapport...?
Une guide irlandaise de mes amies m'a certifié que ce mot voulait dire "marmelade" (Jam) en argot
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