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Forum de La Fraternité du Scoutisme


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Messages publiés par: CASTORE
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Message posté le 22-01-2014 à 16:40  Auteur: CASTORE
@Benoit: je n'ai pas les mêmes infos.

Tu peux appeler les gens de la SACEM pour bien valider les informations, ils ont peut être des astuces à te proposer si tu présentes ton projet comme un projet éducatif, dans le cadre d'une association reconnue (les ENF).
Tous les contacts que j'ai eu avec eux ont toujours été super sympas.

Tu peux sans doute entrer dans le cadre des actions culturelles et éducatives.

Tu produis un disque pour vente à usage privé, c'est une opération ponctuelle parce que tu n'es pas une société de production (et que tu feras moins de 4600 euros de CA Grand sourire ).

La perception s'effectue sur le nombre d'exemplaires fabriqués.

La SACEM prend une base de 29 minutes de musique protégée.

Le prix à payer est alors
2%*15*nombre d'exemplaires fabriqués soit 30 centimes d'euros par disque.

Si tu dépasses les 29 minutes, c'est majoré au pro rata temporis.

Donc mon conseil :
*trouver des chants libres de droit (c'est le cas des chansons de nos provinces) si tu ne veux rien payer
*sinon, faire un disque de moins de 30 minutes de musique protégée pour éviter les complications.


 


Message posté le 24-09-2012 à 14:05  Auteur: CASTORE
@Guillaume,

Ta version est un peu édulcorée Grand sourire

Perso, j'ai appris

La Bretagne c’est pas la France,
C’est vraiment un pays de cons.
Filez-leur leur indépendance
Qu’ils nous lâchent enfin les roustons.

Si les Bretonnes étaient bien moins niaises,
Et les Bretons un p’tit peu moins cons,
Elles s’raient fières de dev’nir françaises.
Ils f’raient mieux d’être bourguignons.

Bretagne, Bretagne, Bretagne
On t’emmerde !!!

Quant à la réponse

On s’en fout de l’armée de France,
Et de la marine à Toulon,
Nous c’q'on veut c’est l’indépendance.
Vive le front libertaire breton.

J’aime Paimpol et sa falaise.
Et le Front de Libération.
Car chez nous, y’a comme un malaise,
Faut que ça pète au pays breton.





(

 


Message posté le 13-09-2012 à 16:26  Auteur: CASTORE
A chaque fois que je lis ce genre de prose, je soupire .

Que de clichés véhiculés encore!

En juriste, je réponds toujours qu'il y a la règle, et la jurisprudence.

Pourquoi vouloir toujours penser changer la règle, quand l'application charitable, au cas par cas, règle souvent les problèmes pour le bien de tous?

Je vous laisse méditer ce petit passage d'un billet de Natacha Trouiller, journaliste catholique


« Et à tous ceux qui vivent en couple, qui sont fidèles à leur conjoint de même sexe ou qui, dans un second mariage après un divorce, essayent comme chacun d'entre nous d'unifier leur foi et leur vie de tous les jours, je dis avec force : non, l'Eglise ne vous exclut pas. Le jeûne eucharistique à laquelle elle nous invite tous lorsque nos actes ne nous rapprochent pas davantage du Christ ne nous jette pas du côté d'hypothétiques impurs, mais nous offre au contraire de communier plus étroitement avec tous ceux qui, de par le monde, souffrent de famine eucharistique, qui ne peuvent matériellement communier au Corps et au Sang du Christ, faute de prêtres ou à cause de persécutions ; avec tous ceux qui ne connaissent pas le Christ et n'en sont pas moins des témoins pour l'humanité. Portons la tête haute et avec fierté cette faim eucharistique qui signe mieux que n'importe quoi d'autre le fait que nous ne revendiquons pas le sacrifice de Jésus comme un droit mais comme une grâce. Soyons pour tous nos frères qui communient par habitude, sans s'interroger sur le sens de ce à quoi ils s'engagent en le faisant, l'interrogation vivante de leurs propres contradictions, comme ce jeune homme inconnu qui s'est avancé un dimanche dans la file des communiants bras croisés sur la poitrine et qui m'a convertie. Soyons des saints, en quelque sorte, que nous communiions ou pas. »

 


Message posté le 11-04-2012 à 17:30  Auteur: CASTORE
A priori ecrit en grec.(Apocalypse est le premier mot du livre = révélation en grec)

Mais la symbolique hebraïque y reste forte, car le genre littéraire de l'apocalypse est celui des écrits en temps de persécution, un genre qui a fleuri après l'exil à Babylone.

Le 3 , dans la tradition hébraïque, symbolise l'homme
*esprit : rapport de l'homme avec Dieu
*personnalité : rapport de l'homme avec lui-même
*chair : rapport de l'homme avec les autres

Je ne sais si le 1/3 symbolise la rupture, comme énoncé par Ocelot, de ce symbole de l'humanité...

 


Message posté le 23-03-2011 à 14:57  Auteur: CASTORE
L'espace marin n'a pas de "frontières" au sens habituel du terme.

Jusqu'à une distance de 12 milles des cotes (environ 19 km)le territoire est directement sous juridiction nationale, c'est la mer "territoriale" (ce qu'on appelle en France le domaine public maritime).

Entre 12 milles et 200 milles, c'est la ZEE (zone économique exclusive) d'un pays (convention de Montego Bay) dans laquelle l'Etat exerce des droits en matière d'exploration et de gestion des ressources.

Ce qui figure sur les cartes marines, c'est généralement la limite des 12 milles.


 


Message posté le 01-02-2011 à 09:28  Auteur: CASTORE
Oui, la première douleur de la Vierge, c'est l'annonce dès l'enfance de Jésus que ce dernier est appelé à souffrir...et faire souffrir, donc, sa mère.

Le culte marial, et notamment celui de la Vierge aux douleurs, a surtout pris son essor au XIII ème siècle.

Le chapelet des 7 douleurs, indiqué par Ocelot, répond à ta question sur la place que tient la méditation de ces épisodes dans la théologie de l'Eglise.
Il est connu depuis le XIV ème siècle et a été diffusé via la Rhénanie

Il possède 59 grains, ou 52 grains et 7 médailles représentants les 7 douleurs de Marie à méditer.

Recemment, c'est au Rwanda (Kibeho)que la Vierge est apparue (apparition reconnue par l'Eglise locale)pour recommander la récitation de ce rosaire "pour la conversion du cœur de ceux qui se sont éloignés de Dieu, et pour être humbles en demandant pardon et en pardonnant"
avant le génocide

C'est le rappel que personne n'arrive au ciel sans souffrir.
Méditer sur la douleur, c'est méditer sur la grâce Sourire

un petit lien ici sur la fête de ND des 7 douleurs le 15 septembre, avec pas mal de références historiques

l'auteur de l'article Mgr Masson, est un lorrain dont j'ai pu apprécier l'érudition et la vivacité d'esprit.Il est hélas décédé...


 


Message posté le 17-12-2010 à 15:28  Auteur: CASTORE
J'aime beaucoup le blogue d'Edmond Prochain

D' après lui, voici comment les journaux auraient pu écrire l'Evangile "à la une"



Insolite : Une femme accouche dans une étable. (Le Parisien / Aujourd’hui en France)

De retour de Bethléem, le témoignage bouleversant de Balthazar. (Paris Match)

Hérode : un règne sur le déclin ? (Point de vue)

Vierge et mère : c’est possible. (Elle)

Que faire quand l’enfant fugue ? (Parents)

Nazareth : un foyer presque ordinaire. (Famille chrétienne)

Style : Oser la peau de chameau. (GQ)

Jésus : Le scandale autour de sa naissance ! (France dimanche)

Tentation : l’échec. (Rock & Folk)

L’eau changée en vin, comment ça marche. (Science et vie)

Les reconversions en plein boom. (Les Echos)

Lévi : « Pour lui, j’abandonne tout. » (VSD)

Retrouver l’essence du judaïsme. (Réforme)

Spécial amitié : tout est possible ! (Le Journal de Mickey)

Pharisiens et Francs-Maçons. (Le Point)

Spiritualité(s) : Le grand réveil. (La Vie)

Disciples : les meilleures filières. (L’Etudiant)

Antiennes paraboliques. (20 minutes)

Intrigante Galilée. (Géo)

Marie-Mad : de catin à catho… la cata ! (Charlie Hebdo)

Le Nazaréen : jusqu’où peut-il aller ? (Le Nouvel Observateur)

Jésus de Nazareth. Les photos de sa sainte colère. (Public)

« Détruisez ce temple ? » Enquête auprès des nouveaux iconoclastes. (Marianne)

Faut-il repenser le système religieux ? (La Tribune)

Jésus peut-il vraiment être le Messie ? (Le Monde diplomatique)

Pierre : « Oui, j’irai jusqu’au bout. » (Le JDD)

Pourquoi l’obole de la veuve vaut davantage. (L’Expansion)

Isaïe, le prophète qui nous parle aujourd’hui. (Historia)

L’amour en héritage. (Télérama)

Marcher sur l’eau ou rester dans la barque ? (Réponse à tout)

Pour qui se prend-il ? (Minute)

« Lève-toi et marche ! » (L’Equipe)

C’est l’hallu finale ! (Libération)

Le grand classement des meilleurs guérisseurs. (L’Express)

Vers une réforme de la législation en matière d’adultère. (Le Monde)

Marthe et Marie : les amies fidèles. (Gala)

Qui sait où il nous mène ? (La Croix)

Rencontre avec Jean : La lumière et la grâce. (Panorama)

Le choc Barabbas. (Les Inrockuptibles)

Christ. Pourquoi il inquiète les prêtres. (Valeurs actuelles)

La rébellion, oui. La religion, non. (L’Humanité)

Jérusalem, la ville éternelle. (Pèlerin)

Spécial transport à dos d’âne. (Auto-Moto)

L’entrée triomphale ! (Le Figaro)

Mon fils, ce héros. (Notre temps)

Célébrer la Pâque entre amis. (Arts et décoration)

Jésus / Judas : le torchon brûle ! (Closer)

Les meilleurs placements en deniers. (Capital)

La trahison. (Métro)

Sale temps pour les prophètes. (Courrier international)

Ecce homo ? (Voici)

Torturé atrocement en public. (Le Nouveau détective)

15h. Le rideau du temple se déchire. (France Soir)

Et le Verbe a pris cher… (Le Canard enchaîné)

Les espoirs brisés. Comment ils nous accablent, comment on s’en relève. (Psychologies magazine)

Tout sur la technique du suaire. (Photo)

Il est vivant ! (Il est vivant)

Pierre s’empare des affaires… mais de quel droit ? (Golias)

Le christianisme a-t-il un avenir sans le Christ ? (Témoignage chrétien)

L’Évangile : le scénario que tout Hollywood s’arrache. (Studio-Ciné-Live)


et les ajouts des commentateurs

Pour un mariage, du cubi à la jarre (Cuisine et vins de France)

Jésus remporte une écrasante victoire contre le péché.(l'Equipe)

Un Homme nouveau ! (L’Homme Nouveau).

Proclamez à toute la Création (L’écologiste)

Il faut qu’il croîsse et que je diminue (La Décroissance)

Innovation : trier le bon grain et l’ivraie » (France Agricole)

Jésus, Fils de Dieu : les nouvelles formes de parentalité (Famili)

Un juif pardonne à une prostituée. La validité de l’absolution en question (Revue de droit canonique)

Les nouveaux commandements au banc d’essai(Que choisir)

Le nouveau culte, point par point(Signes d’Aujourd’hui)

Bouleversements climatiques : tempête sur le lac de Galilée (Meteo Magazine)

Alternative en Palestine : une piécette vaut plus qu’un sac d’or (Alternatives économiques)

Le complot juif (Présent)



 


Message posté le 02-12-2010 à 08:09  Auteur: CASTORE
bla bla bla Ca s'appelle une ligature

*Si ça se prononce « é » ( Œdipe, œdème, œnologie, œnologue,fœtus c'est que ces noms sont d'origine grecque, ils étaient formés avec une double voyelle [oi]

*Si ça se prononce « eu » (bœuf, chœur, cœur, œuf, mœurs, nœud, œil, sœur, vœu) c'est que ce sont des mots d'origine latine, la lettre « o » est étymologique, elle a été ajouté à la Renaissance pour indiquer la filiation de ces mots avec les dérivés d'origine savante : bovin, choral, cordial, ovaire, moral, nodosité, oculaire, sororal, voter.

On prétend aussi que les monosyllabes nécessitaient l'emploi de quatre ou cinq lettres afin d'obtenir un mot suffisamment lisible par l'œil. Ainsi le mot « uef » devint-il « œuf » bla bla bla

 


Message posté le 01-12-2010 à 17:16  Auteur: CASTORE
Surtout après avoir fait une formation "sensibilisation du monde de l'entreprise face au handicap" et où on apprend

*qu'il y a 5 grandes "familles" de handicap : moteur,mental, visuel, auditif et psychique...
*que le statut de "personne handicapée" au sens de la Législation recouvre un vaste domaine


Constitue un handicap, ... toute limitation d'activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d'une altération substantielle, durable ou définitive d'une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d'un polyhandicap ou d'un trouble de santé invalidant. " Article 114 loi du 11 février 2005.

*quelques chiffres significatifs pour la France

-5 millions de personnes handicapées en France, dont 2 millions de personnes à mobilité réduite.30% des déficiences motrices sont d'origine accidentelle
-Le nombre de personnes en situation de déficience motrice est estimé à 7,4 millions
-1,2 million de personnes de plus de 16 ans déclarent à la fois une ou plusieurs incapacités, une restriction d'activité.
-On compte actuellement environ 7500 étudiants handicapés
-4,092 millions de personnes sont atteintes de déficience auditive dont 80 000 pratiquent la langue des signes.
-600 000 personnes malentendantes portent un appareil de correction auditive.
-207 000 personnes sont aveugles ou profondément malvoyantes.
-L'espérance de vie des personnes porteuses de trisomie 21 est passée en 15 ans de 25 à 49 ans (en 2002) et leur longévité progresse de 1,7 an par an.
-80 000 personnes sont autistes.

 


Message posté le 05-11-2010 à 15:26  Auteur: CASTORE
Désolée de te contredire, mais si .

Le samaritain a bien établi une relation personnelle avec le blessé : il l'a pansé, transporté;

Il n'a pas juste envoyé un chèque à Caritas ou à médecins sans frontières.

Très franchement, tu fais un mauvais procès à Zebre sur ce coup là.

Il ne dit pas que nos proches doivent avoir l'exclusivité de notre charité, mais bien la primauté dans l'ordre des urgences.

Si ton fils est cloué au lit et qu'il a besoin de toi, il est normal que tu ailles le voir plutôt que de dépanner un scout même ami à l'autre bout de la France.

Il est parfois plus facile d'envoyer un chèque que de prendre une heure de son précieux temps pour visiter quelqu'un à l'hopital.

Etablir une relation personnelle est quelquefois un véritable exploit dans notre monde individualiste.
Message posté le 05-11-2010 à 09:43  Auteur: CASTORE
Je ne voudrais pas être hors sujet, mais la Doctrine sociale de l'Eglise définit assez bien le droit de propriété

*c'est un droit naturel, nécessaire pour la vie de l’homme, affirmé contre la collectivisation des biens

*c'est un droit pour assurer la famille contre la précarité

*c'est un droit lié au travail

*c'est un droit qui n’est pas absolu : il est limité par la « destination universelle des biens » et par une « hypothèque sociale " ( Nul n'est fondé à réserver à son usage exclusif ce qui passe son besoin, quand les autres manquent du nécessaire)

*en conséquence, c'est un droit qui est légitimement régulé par l’Etat en référence au bien commun



En ce qui concerne les héritages, Leon XIII, dans Rerum Novarum dit ceci

Citation:
Ce droit de propriété que Nous avons, au nom même de la nature, revendiqué pour l'individu, doit être maintenant transféré à l'homme, chef de famille.. La nature impose au père de famille le devoir sacré de nourrir et d'entretenir ses enfants. De plus, comme les enfants reflètent la physionomie de leur père et sont une sorte de prolongement de sa personne, la nature lui inspire de se préoccuper de leur avenir et de leur créer un patrimoine qui les aide à se défendre honnêtement dans les vicissitudes de la vie, contre les surprises de la mauvaise fortune. Or, il ne pourra leur créer ce patrimoine sans posséder des biens productifs qu'il puisse leur transmettre par voie d'héritage.


Comme d'hab, la vertu se situe donc au milieu Grand sourire

petit clin d'oeil à Dingo : dans la parabole du fils prodigue, c'est bien sa part d'héritage que le fils réclame ?

Je ne vois pour ma part aucune incompatibilité entre le devoir envers ses proches et la nécessaire charité envers son prochain non consanguin Grand sourire

Et je remercie la sagesse de l'Eglise de ne prendre aucune position sur les moyens à mettre en oeuvre pour aboutir à une justice sociale : en la matière, nous avons des obligations de résultat qu'Elle nous rappelle, encadrés par des principes .C'est déjà pas mal pour essayer de faire mieux.

 


Message posté le 18-10-2010 à 11:59  Auteur: CASTORE
Zebre: il y a méprise sur le terme "lié" quand on dit "homosexualité et sida sont liés"

*Au sens médical, il existe bien des "populations à risques" connues par les praticiens.

Les homosexuels en font largement partie, les drogués etc...comme l'a rappelé Isatis, hélas, les hémophiles aussi et l'ont payé cher.

*au sens vecteur de transmission, l'épidémie a eu un impact très important sur la manière dont ont été conduites les recherches sur la sexualité.
L'épidémie touchant particulièrement des populations déjà stigmatisées(homosexuels, usagers de drogues, trans, prostitué-e-s...), les recherches ont été dirigées par des préoccupations épidémiologiques liées à la transmission sexuelle du sida : on a donc beaucoup investigué sur les pratiques sexuelles « à risque » telles que la pénétration .
Forcément, on dispose donc de beaucoup plus de statistiques sur ce sujet.

Aujourd'hui, on étudie aussi les réseaux sexuels, les sexualités des personnes trans, la mobilisation
d’homosexuels originaires d’Afrique subsaharienne...

Il faudrait retrouver les actes d'un colloque récent (juin 2010 je crois) une journée complète a été consacrée au rapport SIDA/homosexualité.

*par contre si lié voulait dire que le réservoir du virus du Sida seraient les homosexuels, ce serait un contresens abominable. Triste
Pour mémoire, le réservoir a été indentifié chez les singes africains voir les études de l'INSERM

 


Message posté le 12-10-2010 à 09:19  Auteur: CASTORE
l'autre solution : la machine à voyager dans le temps consiste à entrer dans un tableau de l'époque où on veut aller.Il faut donc un cadre et les loups peignent sur une nappe en papier, par exemple, le décor de leur future aventure.
Le jour J, on pénètre dans le décor qui est habilement découpé d'une porte (ex: le chateau fort: par le pont levis etc)

je suis claire ? belebleb

 


Message posté le 30-09-2010 à 16:49  Auteur: CASTORE
pour Mayeul et sa private Joke, extraits de la somme de St Thomas

Que signifie ce mot de transsubstantiation?
- Il signifie précisément le passage ou le changement de toute la substance du pain à la substance du corps de Jésus-Christ, et de toute la substance du vin à la substance du sang de Jésus-Christ.

- Comment peut se faire ce passage ou cette transsubstantiation?
- Par la seule toute-puissance de Dieu (III 75,4).

- N'y a-t-il que la substance du pain, et la substance du vin, qui soient ainsi changées au corps et au sang de Jésus-Christ; ou bien est-ce tout le pain et tout le vin qui le sont?
- Ce n'est que la substance du pain et la substance du vin; et leurs accidents demeurent (III 75,2 ad 3).

- Qu'entendez-vous par ces accidents qui demeurent?
- J'entends toutes ces réalités d'ordre extérieur qui permettaient à nos sens d'atteindre le pain et le vin qui étaient là précédemment; savoir: l'étendue ou la quantité avec sa forme ou sa figure, la couleur, le goût, les propriétés de résistance et le reste du même ordre.

- Pourquoi les accidents du pain et du vin demeurent-ils?
- Les accidents du pain et du vin demeurent pour nous assurer la présence sacramentelle du corps et du sang de Jésus-Christ (Somme contre les Gentils, SCG 4,63).

- Qu'arriverait-il si les accidents du pain et du vin étaient, eux aussi, changés au corps et au sang de Jésus-Christ?
- Il s'ensuivrait qu'il ne resterait plus rien ici, mais que ce qui était ici du pain et du vin aurait été changé au corps et au sang de Jésus-Christ (Ibid.).

- Et que s'ensuit-il, au contraire, de ce que les accidents du pain et du vin demeurent, alors que leur substance a été changée au corps et au sang de Jésus-Christ?
- Il s'ensuit que le rapport qu'avait, à ces accidents, leur substance, le corps et le sang de Jésus-Christ, moyennant leur substance, l'ont désormais; de telle sorte que, comme avant la transsubstantiation, en ayant ces accidents, nous avions la substance du pain et la substance du vin, nous avons maintenant, selon le mode de leur substance, tout ce qui est du corps et du sang de Jésus-Christ (Ibid.).

- Est-ce le corps et le sang de Jésus-Christ tels qu'ils sont en eux-mêmes et dans leur réalité identique que nous avons ici en vertu de la transsubstantiation?
- Oui; c'est le corps et le sang de Jésus-Christ tels qu'ils sont en eux-mêmes et dans leur réalité identique que nous avons ici en vertu de la transsubstantiation (III 75,1).

- Jésus-Christ tout entier est-il dans ce sacrement?
- Oui, Jésus-Christ tout entier est dans ce sacrement; avec ceci pourtant que sous l'espèce du pain, en vertu des paroles sacramentelles, ne se trouve que le corps; et, sous l'espèce du vin, ne se trouve que le sang; mais, par voie de concomitance et parce que maintenant le corps et le sang de Jésus-Christ ne sont plus ni ne peuvent plus être séparés, comme ils le furent sur la croix, où se trouve le corps se trouvent aussi le sang et l'âme, et où se trouve le sang se trouve aussi le corps uni à l'âme. Quant à la personne et à la divinité du Fils de Dieu, depuis l'incarnation, elles n' ont jamais été séparées d'aucune des parties de la nature humaine de Jésus-Christ, non pas même quand le corps et l'âme étaient séparés l'un de l'autre par la mort sur la croix (III 76,1-2).

- Jésus-Christ est-il tout entier sous chaque partie de l'espèce du pain et sous chaque partie de l'espèce du vin?
- Oui, Jésus-Christ est tout entier, tel qu'il est en lui-même, sous chaque partie de l'espèce du pain et sous chaque partie de l'espèce du vin; avec ceci que l'espèce du pain ou l'espèce du vin demeurant indivise, Jésus-Christ n'est sous chacune d'elles qu'une fois, et qu'il est, au contraire, sous chacune de ces espèces, autant de fois qu'on en fait de parties quand on les sépare ou qu' on les divise (III 76,3).

- Peut-on atteindre le corps de Jésus-Christ selon qu'il est en lui-même quand on atteint les espèces ou accidents eucharistiques du pain et du vin?
- Nullement; parce que ces accidents ne sont pas les accidents du corps de Jésus-Christ, par lesquels seulement nous pourrions atteindre sa substance (III 75,4-8).

- Que s'ensuit-il de cette vérité?
- Il s'ensuit que les accidents eucharistiques du pain et du vin sont tout ensemble ce qui nous livre le corps de Jésus-Christ et ce qui le met à l'abri; de telle sorte que s'il est des méchants qui veuillent profaner le corps de Jésus-Christ dans son sacrement, c'est bien le sacrement qu'ils profanent, mais ils ne peuvent atteindre le corps de Jésus-Christ en lui-même.

- Ces accidents eucharistiques du pain et du vin demeurent-ils toujours à l'état d'accidents eucharistiques, après la consécration du pain et du vin?
- Non; car aussitôt après la communion, ou quand ils ont été absorbés pour servir de nourriture et de breuvage, ils commencent à s'altérer et finissent bientôt par passer à un autre état. Ils peuvent aussi s'altérer et se corrompre par le simple fait des conditions atmosphériques, quand ils demeurent trop longtemps sans être renouvelés (III 77,4).

- Qu'arrive-t-il quand les accidents eucharistiques du pain et du vin cessent d'être les accidents du pain et du vin qui ont été consacrés?
- Il arrive que le corps et le sang de Jésus-Christ cessent immédiatement d'être présents de leur présence eucharistique, le rapport qu'ils avaient à ces accidents et, par ces accidents, au lieu où ces accidents étaient, cessant par le fait même (III 76,6 ad 3).

- C'est donc uniquement en raison de la consécration du pain et du vin et de la permanence des accidents du pain et du vin consacrés, que Jésus-Christ est présent de sa présence eucharistique?
- Oui, c'est uniquement en raison de la consécration du pain et du vin et de la permanence des accidents du pain et du vin consacrés, que Jésus-Christ est présent de sa présence eucharistique, les changements opérés dans le pain et dans le vin étant toute la raison de cette présence, sans que le corps de Jésus-Christ ait lui-même changé en rien (III 76,6 ad 3).

Message posté le 30-09-2010 à 16:44  Auteur: CASTORE
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