Mardi 14 Mai 2024
09:27
[S'inscrire]  [Mon Profil]  [Messages privés
[Liste des Membres] [FAQ] [ Connexion ]

Recherche avancée
 
Ecussons
Autocollants
Polos
Retour au site
Retour au forum

Cette version du forum n'est désormais accessible que pour lire les passionants échanges et partage de techniques qui ont déjà été rédigées ici.

Pour participer aux échanges interscouts, merci d'utiliser
le nouveau forum

Forum de La Fraternité du Scoutisme

20 résultats dans 16 fuseaux
Messages publiés par: Louis Fruchard
et marqués en vert
(les 100 derniers)

Voir les titres seulement
            



 


Message posté le 05-04-2013 à 13:55  Auteur: Louis Fruchard
Oh non, l'expérience liturgique des messes face au peuple a commencé largement avant Vatican II. Mais elles n'étaient pas le symbole (erroné d'ailleurs) de la réforme de Bugnini ; plutôt simplement un souci pédagogique de participation des fidèles dans cet esprit du mouvement liturgique initié depuis Dom Guéranger.
On trouve bien d'autres photos de messes en plein air ainsi disposées (en arc de cercle), qui restent d'ailleurs parfois bien "orientées", même face au peuple.

 


Message posté le 26-10-2010 à 19:17  Auteur: Louis Fruchard
Attention les Cadets de France et d'Europe de Roger Holeindre n'existent plus.

Et vous confondez avec les Cadets de France (anciennes troupes marines de Paris) qui existaient avant (depuis la fin des années 80) et continuent toujours à naviguer, dans les eaux de la Fraternité st Pie X...

 


Message posté le 26-08-2009 à 11:08  Auteur: Louis Fruchard
et n'oublions les Petits Loups :




 


Message posté le 18-02-2008 à 06:57  Auteur: Louis Fruchard
Citation:
Le 2006-09-18 21:40, Mengette a écrit :


- Les lutins:
L’histoire des lutins a été écrite par Mrs Ewing.
bp l'a tout d'abord adaptée pour les louveteaux. Elle constituait "le cinquième coup de dent" dans le livre des louveteaux" qu'il a écrit en 1916. Elle y raconte l'histoire d'un vieux hibou qui vivait dans la jungle et de deux frères qui cherchait à se rendre utile.
. Puis BP transforma cette histoire pour les filles de 8 à 12 ans. Elle ne raconte plus l'histoire de 2 garçons mais d'un frère et de sa sœur, tommy et betty. Elle ne se passe plus dans la jungle mais dans la forêt.

Cette histoire constitue la première partie du "livre des éclaireuses" écrit par BP en 1918

Voici les noms sizaines proposaient par BP dans "le livre des éclaireuses" avec leur devise:
- "korrigans" (orange): et pour vous aider souvent, rime ne vaut un korrigan"
- "farfadet"(rouge "farfadet pour vous servir vite on nous voit accourir"
- elfes (bleu) "elfes légers nous voila, pour vous tirer d'embarras"
- sylphes (bleu foncé) "notre devise est en tout: pour les autres, non pour nous"
- nains (bleu clair) "notre devise à nous les nains être gais et plein d'entrain"
- feux follets (vert) "en tout temps et tout lieux un feu follet fait de son mieux"
- fées (jaune) "par leurs douces mélodies, les fées égayent la vie"

L’avantage de cette pédagogie c'est qu'il y a de nombreux conte tournant autour des lutins et de la magie.

On pourrait évoquer aussi la branche cadette des Guides (catholiques) Belges, n'ayant pas bien-sûr de modèle comme Jeannette de Domrémy. Elles ont adopté un imaginaire de Lutins assez proche des Brownies anglaises.

Les sizaines y portent des noms qui font un peu sourire, car cela donne, dans le Cérémonial de Promesse :
Texte:
_ " Avant d'entrer dans la Ronde, va demander aux Elfes, aux Gnomes, aux Farfadets et aux Nains s'ils t'acceptent chez eux..."
_ A la première sizaine : "Est-ce que je puis rentrer chez les Lutins ?"
_ "oui, si tu sais la loi des lutins.
_ "Le petit Lutin écoute le grand Lutin, etc..."


. Dans ces Rondes de Lutins la cheftaine portait le nom de Chouette Brune.
. La novice doit passer l'épreuve dite "Secret de la Caverne".
. Les méchants lutins (équivalent des banderlogs) sont appelés des Bogards.
. La réunion solennelle du Conseil porte le nom (indien) de Pow-wow.
. Et pour se rassembler la ronde commence "la magie" des lutins : une danse autour du Champignon !

 


Message posté le 26-06-2007 à 13:36  Auteur: Louis Fruchard
Citation:
Le 2005-01-09 18:21, Old GIlwellian a écrit
Ne pas oublier que le seul membre reconnu par la CICS pour la France est l'association des Scouts et Guides de France.
Certes, mais vue de Rome la discrimination n'a plus guère de raison d'être. Il faudra bien un jour que le Scoutisme Français évolue, au lieu de s'accrocher à son monopole datant du Maréchal Pétain...
Aux yeux Pape actuel, les 3 grandes associations de scoutisme catholiques sont au coude à coude. Avez-vous pris connaissance de son message de vendredi dernier ?

Message du pape Benoît XVI pour le centenaire du Scoutisme au Président de la Conférence des Évêques de France (le Cal Ricard).


"...Fécondé par l’Évangile, le scoutisme est non seulement un lieu de croissance humaine vraie, mais aussi le lieu d’une proposition chrétienne forte et d’une véritable maturation spirituelle et morale, ainsi qu’un authentique chemin de sainteté; il sera bon de se rappeler, comme le soulignait le Père Jacques Sevin, sj, fondateur du scoutisme catholique, que «la sainteté n’est d’aucun temps ni d’aucun uniforme particulier (...)

Avec toutes les personnes qui, dans votre pays, ont bénéficié d’une structure scoute, que ce soit chez les Scouts et les Guides de France,chez les Scouts et Guides d’Europe, ou encore chez les Scouts et les Guides unitaires de France, je me réjouis que, depuis l’appel lancé en 1997 par mon prédécesseur à plus d’unité dans le scoutisme catholique,des collaborations puissent se réaliser, dans le respect des sensibilités de chaque mouvement, en vue d’une plus grande unité au sein de l’Église (...) Il est aussi important que se manifeste et que se développe, entre les scouts et entre les différents mouvements, la «fraternité scoute», qui fait partie de son idéal initial et qui constitue, notamment pour les jeunes générations, un témoignage de ce qu’est le Corps du Christ, où, selon l’image de saint Paul, tous sont appelés à remplir une mission, à la place qui est la leur, à se réjouir des progrès des autres et à soutenir leurs frères dans l’épreuve(cf. 1 Co 12, 12-26).
(...)
Je rends grâce au Seigneur pour tous les fruits que, au long de ce siècle, le scoutisme a portés. Avec toute l’Église, je fais confiance aux différents mouvements, Scouts de France, Scouts et Guides d’Europe, Scouts et Guides unitaires de France, afin de poursuivre la route, dans un soutien de plus en plus fort entre les mouvements, et de proposer aux garçons et aux filles d’aujourd’hui une pédagogie qui forme en eux une personnalité forte, fondée sur le Christ et désireuse de vivre des idéaux élevés de foi et de solidarité humaine. De ce point de vue, la promesse et la prière scoutes constituent une base et un idéal à développer tout au long de l’existence. C’est ce que rappelait déjà Lord Baden-Powell: «Soyez toujours fidèles à votre Promesse scoute même quand vous aurez cessé d’être un enfant – et que Dieu vous aide à y parvenir!» Lorsque l’homme s’efforce d’être fidèle à ses promesses, le Seigneur lui-même affermit ses pas.

Aux Scouts et Guides qui composent les trois mouvements, aux jeunes, aux adultes et aux aumôniers qui les accompagnent, aux familles, aux anciens Scouts et Guides, j’accorde de grand cœur, ainsi qu’à vous-même et à tous les Pasteurs de l’Église en France, la Bénédiction apostolique."

Du Vatican, le 22 juin 2007. BENOîT XVI

 


Message posté le 14-03-2007 à 16:05  Auteur: Louis Fruchard
Si vous aimez ce style de maître-mots, jetez un coup d'oeil sur ceux rassemblés dans les tables du grand livre de la forêt (y compris l'onglet "jungle" de ce fichier.xls)


Citation:
* Plus on prend de la hauteur, et plus on voit loin
* L’horizon c’est la terre qui atteint enfin le ciel, mais marcher vers cet idéal vous entraîne chaque jour plus loin.
* Il n'est pas de vent favorable pour qui ne sait pas où il va. (Sénèque)
* Qui est guidé par une étoile ne regarde jamais en arrière. (Léonard de Vinci)
* Au fond d'un trou ou d'un puits, il arrive qu'on aperçoive les étoiles (Aristote)
* Aussi forte que semble la liane, c’est toujours par le plus faible endroit qu’elle cassera.
* Comme on ne peut changer la direction du soleil, les tournesols ont appris à orienter leurs fleurs.
* Il en est des gens comme des champignons, ne va pas croire qu'ils soient tous bons
* Piqûre de rose fait plus saigner que celle de l'ortie
* Ne juge pas le grain de poivre à sa taille : goûte le, tu verras comme il pique
* La tactique du lièvre : prendre son courage à deux pieds
* La chose la plus fragile au monde, c'est bien la vie qui se brise sans retour.
* Tous les matins du monde sont sans retour
* Pour durer il faut des braises
* Se désespérer c’est faire deux bêtises au lieu d’une.
* La langue est sans os, on la tourne comme on veut
* Les mots sont des oiseaux qu'on ne rattrape jamais, une fois lâchés.
* Etre dans le vent ? Mais c’est le propre des feuilles mortes !
* Le temps est toujours beau ; cela dépend pour qui...
* Il n'est si beau jour qui n'amène sa nuit.
* Si un arc-en-ciel dure un quart d'heure, on ne le regarde plus ! (Goethe)
* Au lieu de se plaindre de ce que la rose ait des épines, je me félicite de ce que les buissons d 'épines portent de telles fleurs
* Regarde toujours dans la direction du soleil levant et tu ne verras jamais l'ombre derrière toi.
* La grandeur d'un arbre dépend de ses racines.
* Noble cèdre ne pousse en un printemps.
* On ne tire pas sur une plante pour la faire grandir plus vite
* Face à la roche, le ruisseau l'emporte toujours, non pas par la force mais par sa persévérance.
* Les rivières les plus profondes sont les plus silencieuses (Quinte-Curce, auteur latin)
* Le mensonge donne des fleurs mais pas de fruits


 


Message posté le 11-08-2005 à 13:39  Auteur: Louis Fruchard

Tout le monde ne peut pas être toujours devant son écran (Dieu merci)... Outre les vacances, qui sont pour beaucoup l'occasion de décrocher un peu, il arrive fatalement qu'un jour on devienne moins disponible qu'autrefois pour suivre les discussion de ce bon vieux forum.

C'est mon cas à partir de cette année, pour des raisons de disponibilités professionelles (tout le monde n'a pas le haut-débit à la maison). Je ne pourrais guère fréquenter internet, si ce n'est de temps à autre. Mais je reste disponible pour répondre à des questions, si vous le sollicitez par message privé.


Sans doute d'autres anciens, à tour de rôle, passeront par des périodes de recul, sans décrocher tout à fait. J'ouvre donc ce sujet pour leur permettre d'indiquer leur indisponibilité. Sans fleur ni couronne !

 


Sujets associés :
Message posté le 20-06-2005 à 20:45  Auteur: Louis Fruchard
Et comme l'ont fait remarquer Ursus et Elephant, on pourrait citer aussi dans ce fuseau les gamelles de type bona, ou boname dérivé de bonamaux, du nom de son inventeur, Charles Bonamaux, frère du premier commissaire national EU, qui reste la marmite à tout faire sur nos feux de bois.

Ou encore aussi sa concurente SDF nommée la Marhut (Marmite de la Hutte )...

 


Message posté le 14-03-2005 à 21:36  Auteur: Louis Fruchard
Citation:
Le 2005-03-13 22:37, Borome a écrit
Ce grand secret est une bonne idée, je la note...


Voici quelques autres éléments si le sujet t'interese, qu'on trouve dès les premiers cérémoniaaux pour l'entrée à la ronde :
La Cheftaine : "Maintenant que vous voici dans la Ronde, je vais vous dire un grand secret. Ce grand secret que nous sommes seules à connaître, et qu'en dehors de la ronde, une Jeannette ne confie qu'à sa Maman, car une vraie Jeannette n'a pas de secret pour sa Maman
(Tout bas, à chacune des novices).
_ Une Jeannette écoute... (le nom secret de la Chaftaine), elle ne s'écoute pas elle-même.

Le règlement des Guides de France de 1948 précise (p.77) "Le Grand Secret est un maître-mot, une "idée-force" choisie pour combattre une déficience de la Ronde ; de ce fait il n'est pas définitif.
Il doit être clair et précis, dénué d'une fantaisie excessive et d'un symbolisme "tiré par les cheveux". Exemple de grands secrets : courageuse, loyale, souriante."



Citation:
Le 2005-03-11 14:06, Labo-Scout a écrit

C'est curieux. ... J'ai en même temps sous les yeux un document imprimé avec photo de couverture (donc beaucoup plus tardif) intitulé "Pour cueillir les fleurs des trois sentiers" où le titre de chaque page est :
. Pour cueillir la fleur bleue du 1er sentier. "Ordre et Activité"
. Pour cueillir la fleur bleue (sic) du 2ème sentier. "Joie et Vérité"
. Pour cueillir la fleur bleue (resic) du 3ème sentier. "Amour"

Comment expliquer cela ? Double erreur d'impression ou attribution (postérieure) de la couleur de l'insigne de bérêt à ces 3 sentiers de la forêt bleue ? Qui pourra nous répondre...


Cela pourrait donc bien être une erreur, car dès l'origine (cérémonial de 1932), dans le passage de la Ronde à la Compagnie, la Jeannette expliquait qu'elle a "cueilli la fleur bleue, la fleur de la joie qu'on attend... la fleur blanche, la fleur de la joie qu'on possède ... la fleur d'or, la fleur de la joie qu'on donne".

Ce qu'exprime de même le Règlement des Guides de France de 1948 (p.71 à 74) sous ces formules :


" Ce seront trois fleurs de joie que la petite fille pourra cueillir en suivnat les trois sentiers de la Forêt Bleue..."

"La Fleur Bleue de la joie espèrée.
Premier sentier : une Jeannette est toujours propre. Une Jeannette est toujours active.
Ordre et Activité
(Santé et Habileté manuelle _ B.P.)"

"La Fleur Blanche de la Joie possédée.
Deuxième sentier : une Jeannette est toujours gaie. Une Jeannette dit toujours vrai.
Joie et Vérité
(Formation du caractère, selon B.P.)"

"La Fleur d'Or de la joie donnée.
Troisième sentier : une Jeannette pense d'abord aux autres.
Amour
(service de Dieu et du prochain, envisagé par B.P.)"

Message posté le 11-03-2005 à 18:14  Auteur: Louis Fruchard
Pour info , en 1933 dans le Livre de la Forêt Bleue (de Marie Diémer, et non Diemer )
. "le Hibou était le plus sage de toutes les hôtes du bois" (p.34)
.. l'écureuil s'appele Guerlinguet,
... et le chien (fidèle compagnon de Jeannette) : Pataud.

La Cheftaine qui l'accueille comme une Fée porte le nom de Joyeuse (Chapitre "Le Grand Secret").

Et on aussi trouve dans ce livre un mélange de contes (Cendrillon, Viviane, des Mousquetaires, le Chat Botté et le chateau de l'Ogre) !..

Surtout on peut déjà y remarquer trois chapitres à propos des trois fleurs (et leurs couleurs) !

[ Ce Message a été édité par: Louis Fruchard le 11-03-2005 18:21 ]

 


Message posté le 08-01-2005 à 16:56  Auteur: Louis Fruchard
C'est précisément à l'occasion du 50e anniversaire de cette CICS (fondée par le Père Jacques Sevin) que le Pape JEAN-PAUL II a adressé son appel du 13 septembre 1998 resté bien oublié...


"... À l’approche de l’an 2000, je souhaite vivement que le mouvement scout continue à se laisser interroger sur sa façon de vivre de manière plus radicale les engagements évangéliques et à donner un témoignage de collaboration harmonieuse et de communion. En ce sens, il sera important de reconnaître toujours d’avantage les sensibilités propres de certaines unités au sein même des fédérations, dans une volonté de dialogue et de compréhension. Il serait aussi particulièrement significatif que l’unité du mouvement scout, parfois brisée dans le passé, se réalise au cours du grand Jubilé..."



[ Ce Message a été édité par: Louis Fruchard le 08-01-2005 17:01 ]

 


Message posté le 13-09-2004 à 17:14  Auteur: Louis Fruchard
Il me semble que maintenant ce genre de lettre « historique » méritent de tomber dans le domaine public. Voici des extraits motivant la réponse aux SUF de Dominique Tournaire-Rigal , présidente du SF en 1995

"Monsieur le Président,
"Vos rencontres avec les six associations membres de la Fédération du Scoutisme Français, la lecture attentive de vos documents pédagogiques et de vos courriers ont été l'occasion, pour le Conseil National, de nombreux et fructueux échanges concernant le sens de la demande d'adhésion des Scouts Unitaires de France .

"Actuellement [cette réponse est datée du 20 décembre 1995] il reste de nombreux points de divergence qui nous amènent à ne pas pouvoir répondre favorablement à cette demande. J'en retiendrai les deux principaux :

"1) La conception du Scoutisme
(...) Les Scouts Unitaires de France proposent un scoutisme figé , n'incluant pas d'engagement social ouvert à tous, comme s'il voulaient préserver ses adhérents des influences de la société plutôt que de les prendre en compte pour se les approprier." ... [ NDLR: souligné par nos soins ]

"2) les spécificités des associations membres
(...) Certains textes proposés par les Scouts Unitaires de France laissent encore planer une ambiguïté sur l'authenticité des valeurs proposées par la Fédération du Scoutisme Français"...


Antoine Renard, président des SUF, a accusé réception de ce rejet "après une démarche initiée il y a bientôt 6 ans", le 14 février 1996.

 


Message posté le 21-05-2004 à 20:15  Auteur: Louis Fruchard
Ca y est, je viens de retrouver où on parlait de la médaille de St Louis. Ce n'était pas dans le Cérémonial mais dans le petit livre de 1923 : "Les Scouts de France, Fédération Nationale Catholique, Principes, statuts, règlement intérieur" (p.123-124)

Récompenses et distinctions
"A. Pour actes de sauvetage :
1° Un certificat.
Une croix [potencée] de bravoure de 2ème classe (ruban vert)
3° Une croix [potencée] de bravoure de 1ère classe (ruban rouge) pour sauvetage particulièrement héroïque

B. Pour dévouement extraordinaire au Mouvement Scout de France :
1° Un certificat de mérite
2° Une médaille de mérite (une seule classe).
Médaille Bayard pour les scouts [ronde avec sa figure casquée / cf. dessin], médaille Jeanne d'Arc pour les cheftaines [non représentée].

C. Pour service signalé rendu à un Scout ou à une troupe :
La croix celtique fleuredelisée [on retrouve sous ce titre un dessin de la fameuse swastika scoute, chargée d'une fleur de lys], insigne international de remerciement scout.

D. Pour valeur absolument exceptionelle :
La cravate de Saint-Louis "

suit enfin la liste des conditions à remplir pour recevoir ces distinctions. On y précise notamment que la médaille Bayard n'est décernée qu'à des membres de la fédération "de rang inférieurs à celui d'Assistant, ayant au moins deux étoiles d'ancienneté.
"La croix celtique (ruban vert à liseré tricolore) peut être remis aux chefs S.D.F., aux bienfaiteurs étrangers. Le Scout qui rencontre quelqu'un porteur de cet insigne [ = croix gammée fleurdelisée, tournée à droite !..] doit aller le saluer et lui offrir ses services.
"La cravate de Saint-Louis n'est décernée qu'à des Chevaliers de France ayant au moins trois étoiles d'ancienneté et douze brevets de capacité, et ayant accompli quelques actes extraordinaire de Scoutisme, de sauvetage ou de dévouement prolongé et exceptionnel."
[addsig]
Message posté le 19-05-2004 à 20:47  Auteur: Louis Fruchard
Au Chapître "Récompenses" des Eclaireurs Unionistes de France (Manuel de 1934, p.309) : "Il existe trois insignes spéciaux : l'Alouette Gauloise, le Coq de France et le Swastika."
l'Alouette Gauloise (argent) pour un service n'ayant pas mis sa vie en péril
Le Coq Gaulois (or) au contraire pour un acte de courage au péril de sa vie
"Le Swastika, (très ancien symbole de la Vie)", bronzé ou d'argent.
[addsig]

 


Message posté le 19-05-2004 à 14:18  Auteur: Louis Fruchard
Pas que je saches. Pour les P.L. c'est Menu qui a choisi cette couleur et l'esprit "Pirate".
A Chamarande la patrouille des Lévriers regroupait les scouts en service.

Il y avait aussi une Equipe Colbert (de chefs et Routiers) qui organisait la partie logistique des grands rassemblements fédéraux (comme pour le train de Pèlerinage à Rome, par exemple) [addsig]

 


Message posté le 18-05-2004 à 19:49  Auteur: Louis Fruchard
La fameuse citation attribuée à B.P. figurait déjà en tête de la Charte du Scoutisme Catholique (cf. Congrès SDF de Jabville en 1963). Mais cette expression aux allures sectaires a été longuement réfutée par Lucien Desmaretz (ancien EDF et Commissaire ENF) dans plusieurs numéros de Scoutisme et Collection (cf. n°32 pp. 33 à 48, n° 34 pp.28 à 32) qui s'en demandait l'origine. L'expression ne semble pas de B.P. lui-même.

En fait cette phrase lapidaire était déjà souvent reprise dans les publications belges de la FSC (cf. "Citée Chrétienne du 5 avril 1934). Son origine la plus lointaine semble bien être la "Master Gazette" des Scouts BP de Belgique (pp.16 à 18) parue en janvier 1920. Dans cet article le RP. Jacobs S.J., Aumônier Général de la FSC ( de 1923 à 1931, et membre du Comité Mondial), évoque "un souvenir personnel où B.P. Lui-même lui a fait la déclaration que voici : "Le Scout est avant tout un croyant ; je répudie tout scouting qui n'a pas la religion à sa base".

La traduction ou l'interprétation du terme "répudier" semble donc davantage une stricte interprétation catholique que conforme au pragmatisme fraternel de B.P., qui a toujours admi et encouragé les EDF . Et pour comprendre ce besoin de clarification des principes au niveau des catholiques Belges, il faut connaître aussi l’influence de la dissidence des Belgian Catholic scouts (de 1920 à 1927), même si la grande majorité des catholiques belges resteront chez les BP Belgian Boy- scouts .


_________________
Départ RS :"ne pas se contenter d'à peu près, ou de la possession tranquille des vérités toutes faites... Veux-tu, en toutes choses, rechercher humblement la vérité et librement la servir, sans écraser autrui sous le poids de ta découverte?

[ Ce Message a été édité par: Louis Fruchard le 18-05-2004 19:51 ]

 


Message posté le 07-05-2004 à 13:40  Auteur: Louis Fruchard
. Les SUF ont gardé la nouvelle version du Départ Routier SDF (parue en 1952).

. Les SDE ont concocté une version courte, inspirée en partie du 1er Cérémonial SDF(1928).

. Riaumont n'a fait que suivre celui des Scouts Catho. qui ont essayé de fusionner (version longue) les 2 textes du Départ RS


Ceci dit, à moins d'être Vishnu, on n'a pas 5 bras ( /reçois cette torche + cette tente + ce pain + cette bible + cette hache + cette gourde + ce baton, etc !..) [addsig]

 


Message posté le 25-04-2004 à 17:01  Auteur: Louis Fruchard
Les frères Henri et Charles Bonnamaux sont aussi des figures emblématiques des Éclaireurs Unionistes, à citer.

Membres actifs tous les deux du Touring Club de France qui à cette époque prenait une importance croissante, ils militaient aussi au sein des Unions Chrétiennes, rassemblant les jeunes protestants. Depuis 1903, ils animaient avec R. Partridge et Randegger un groupe de campeurs recrutés au sein des Unions. Les frères Bonnamaux avaient, dès cette époque, rédigé un manuel de camping pour le Touring Club de France. Ils rêvaient de susciter des troupes d'éclaireurs-caravaniers quand le Williamson implanta au sein des UCJG l'idée du scoutisme de Baden Powell.

Henri Bonnamaux ("Cigogne d'Alsace"), ingénieur agronome, professeur au collège de Normandie devint le premier commissaire national des Éclaireurs Unionistes, en 1913, au moment de l'absence pour maladie du pasteur Williamson. Il le restera jusqu'en 1918 et rédigera un "Manuel de l'éclaireur" qui se substituera à celui du capitaine Royet. C'est encore lui qui dessina l'emblème de l'association, le coq, qui restera l'insigne jusqu'en 1940.

Charles Bonnamaux ("Vaisseau du désert"), ingénieur lui aussi, né en 1878, très féru de gymnastique et de sport dans la nature était l'animateur du gymnase de l'Union de Paris.
C'est lui qui rédigea la Loi de l'éclaireur en 12 articles. Charles Bonnamaux, à près de 70 ans, était encore présent au Jamboree de Moisson en 1947.

Avec Partridge il créèrent une organisation de fabrication et de location de matériel de camping pour éclaireurs que Randegger perfectionnera en lui adjoignant une "Coopérative d'excursions". C'est dans le cadre de ces activités qu'ils eurent l'idée d'inventer une marmite de cuisine et de camp destinée à une patrouille de huit garçons. Conçue à ses débuts en fer battu, elle était ronde et comportait un couvercle adaptable permettant une utilisation en poêle à frire. La marmite, comme le couvercle, comportait des oreilles permettant à l'aide de pinces à ressort de saisir l'ustensile sur le feu sans se brûler.

Ainsi naquit la fameuse "bonam" qui, sous plusieurs formes améliorées, passa de génération en génération de guides et de scouts.
Ils ignorent souvent quels en sont les auteurs, bien qu'ils utilisent le nom de "Bonam" pour désigner cette marhut !


[ Ce Message a été édité par: Louis Fruchard le 25-04-2004 17:06 ]
Message posté le 08-04-2004 à 22:29  Auteur: Louis Fruchard
Kevin a bien répondu.
On pourrait dire que Cappy était aux Éclaireurs (aussi bien EU que EdF) ce que Cham. était pour les Scouts de France...

Alors que les SDF en étaient encore aux balbutiements, les EU et les EDF pratiquaient déjà des rassemblements importants. C'est ainsi qu'eut lieu en 1921 la réunion de près de 200 chefs au camp de Lacroix-Saint-Ouen (1) situé en forêt de Compiègne, sous le patronage du comité américain pour les régions dévastées.
A la suite du camp de 1922, toujours à Lacroix-Saint-Ouen eut lieu le congrès international où l'existence du camp-école de Gilwell fut donné en exemple pour la formation des chefs. L'idée de rassembler une ou deux centaines de responsables devint alors obsolète et fut remplacée par la constitution de trois ou quatre patrouilles de stagiaires volontaires (soit entre 15 et 20) pour passer au moins une semaine en formation comme à Gilwell-Park.
L'idée était tellement dans l'air que les SDF, rattrapant le temps perdu, inaugurèrent à Pâques 1923 leur propre camp-école à Chamarande sur le modèle de Gilwell.

La même année, le comité américain pour les régions dévastées, bienfaiteur du scoutisme neutre et protestant, offrit à ces mouvements une propriété comparable pour qu'ils puissent en faire un camp permanent de formation.
Les épreuves de la guerre de 1914/18 avaient rapproché les deux associations de scoutisme : EU et EDF et une première Fédération (éphémère) s'était constituée sous la présidence du général de Berkheim (Président intérimaire des EDF en l'absence de Charcot). Cependant la remise du camp de Cappy aux deux mouvements devait être l'occasion d'une collaboration de plus en plus étroite jusqu'en 1939.

La donation comprenait, près de Verberie (60410), un petit château situé sur un grand terrain entouré de collines et dominant la plaine de l'Oise et la forêt de Compiègne.
Le manoir servait de base pour certaines activités et parfois la cuisine, tandis que les emplacements des patrouilles de stagiaires s'éparpillaient dans les taillis d'un terrain sablonneux et propice au campement. L'emplacement du feu de camp était placé à l'écart dans un coin de bois abrité.

Le Camp de Cappy fut inauguré officiellement le 21 octobre 1923 par un préfet en présence d'Emile Guillen, chef du camp, des autorités des EU et des EDF et de Hubert Martin, directeur du Bureau international du scoutisme. Cela dura jusqu'en 1987 (la propriété fut vendue à un particulier).

(1) Lacroix-Saint-Ouen, chez certains historiens du scoutisme, figure souvent écrit en quatre mots : La Croix Saint Ouen; en réalité Lacroix en un seul mot est la règle générale admise par l'administration (et la cartographie).

Documentation sur Cappy :
- Dans la revue "Jamboree" de Janvier 1924 repris par la revue "Kim" N°51 de 1992.
- Henri Viaux "Aux sources du scoutisme Français". Éditions du Scorpion 1961.


En ce qui concerne la bague de foulard à deux torons ,
elle accompagne la badge de bois (les fameuses bûchettes) sur le foulard de Gillwell, gris à envers rose portant à la pointe un rectangle écossais (reproduisant le tartan de M. de Bois Mac Laren).
Message posté le 08-04-2004 à 06:37  Auteur: Louis Fruchard
ECLAIREURS UNIONISTES DE FRANCE, mouvement de scoutisme né dans la mouvance protestante des Unions Chrétiennes de Jeunes Gens en 1911. Insigne : Coq, puis croix fleurdelisée. Devise : "sois prêt".

Ils furent crées en 1911 par Samuel Williamson, Secrétaire Général du Comité National des Unions Chrétiennes ou U.C.J.G. (Union Chrétienne de Jeunes Gens), mais qui n'était pas Pasteur, contrairement à ce qu'on voit souvent écrit. Très intéressé par la pédagogie du scoutisme et par l'expérience tentée en octobre 1910 avec succès à la Mission populaire de Grenelle (Maison Fraternelle) par le pasteur Gallienne (Éclaireurs de France), il fit paraître dans "L'Espérance", le journal des U.C.J.G. un numéro spécial consacré au scoutisme (Juin 1911).

Les premières troupes semblent bien avoir été créées à la Mission populaire de Nantes et surtout à l'Union de Paris, rue de Trévise, à celle de St. Maur, de Boulogne. Parmi les unités des débuts ont peut encore citer celles de Grenelle-Avre, Passy, Batignolles, Plaisance (14ème Arr.), Faubourg Saint Antoine (Les Éclaireurs de l'Armée du Salut - troupe populaire), Oratoire du Louvre, Neuilly.
En octobre de la même année on comptait 10 troupes déjà créées et 5 sur le point de l'être.

A la déclaration de la guerre en 1914, les Éclaireurs Unionistes (le mot Union rappelant celui des Unions Chrétiennes, alors fer de lance du prosélytisme protestant) comptaient 3.000 membres répartis en 110 troupes. Au cours de la première guerre mondiale, une centaine de chefs furent tués au combat tandis que la direction des E.U. restait assurée par Henri Bonnamaux, C.G (totem : "Cigogne d'Alsace").

Samuel Williamson devait succomber en 1918 de la tuberculose, et la même année Jean Beigbeder (totem, "Z'oeil de chouette") qui avait lancé avec les frères Bonnamaux la troupe "Batignolles 3" dès 1913, remplaçait Henri Bonnamaux comme C.G.

Jean Beigbeder se rallia de suite à l'idée de former une union du scoutisme français qui rassemblerait tous les Éclaireurs en France.
En 1919 les E.U. participèrent au rassemblement unitaire de Lacroix St. Ouen, près de Compiègne où fut lancé l'idée d'un "Bureau Interfédéral Français du Scoutisme".(B.I.F.)

Pour le dixième anniversaire de leur fondation en 1921, les Éclaireurs Unionistes reçurent la Médaille de la Reconnaissance française. La même année était créée la branche Louvetisme, tandis que la branches féminine encore peu importante des "Éclaireuses Unionistes " se fédérait avec les "Éclaireuses (laïques) de France".

Le 1er Janvier 1923, Jacques Guérin-Desjardins (totem : "Cerf Agile") devint C.G. en remplacement de J. Beigbeder, devenu pasteur, qui partait à Madagascar. Le camp permanent de Cappy fut crée la même année en commun avec les Éclaireurs de France, grâce au don du Comité Américain pour les régions dévastées.

Au 25ème anniversaire (août 1936), les E.U. organisèrent un camp national à Walbach avec la participation de 3.000 éclaireurs. J. Guérin-Desjardins était remplacé par J. Gastambide (totem : "Mérinos"). De cette période, l'ancien CG. Guérin-Desjardins qui fut aussi le traducteur de Lord Baden Powell en différentes circonstances devait écrire en 1981 : "Ce fut la période la plus heureuse de ma vie. C'était l'époque où le "Comité Interfédéral" se réunissait dans mon bureau et où, après la séance, nous déjeunions ensemble fraternellement et où le Chanoine Cornette, m'embrassait en public..."

Les "Trivaux" : ce nom fut donné aux premiers rassemblements des Éclaireurs Unionistes d'Ile de France qui eurent lieu, depuis les débuts, près des étangs de Trivaux (qui se trouvent encore actuellement dans les bois de Clamart Meudon proches de Paris Sud-Ouest). Ces rassemblements transformés en camps saisonniers et traditionnels ont toujours lieu sous ce nom.

En 1920 les EU publiait "Le Journal de l'Éclaireur Unioniste" depuis déjà sept ans.
De 1925 à 1931, "Le Journal des Éclaireurs" (fondé par Paul Charpentier) fut commun aux EDF et aux EU.
Parmi leurs principaux C.G. on peut citer Jean-Claude Hesse ou le pasteur Maurice Costil.

En 1939, les E.U comptaient 12.000 membres. Trente chefs furent tués à l'ennemi. En 1940, les E.U. participèrent au Camp de l'Oradou qui scella la création du Scoutisme Français. Le secrétariat général était replié à Vichy.

Après l'invasion de la zone libre, une partie de leur secrétariat devint clandestin. Pendant la guerre, ils prirent en charge soit des EIF soit même des enfants juifs qu'ils camouflèrent en zone libre dans certaines de leurs unités, comme celles des Montagnes Noires dans le Tarn ou les Cévennes.

En 1945, lors du quinzième Conseil National, tenu à Strasbourg, on dénombrait plus d'EU dans la zone sud que dans toute la France avant la guerre. P. Bruneton devenait Président, il avait fait sa promesse en 1913.
En 1947, les E.U. participaient au Jamboree de Moisson avec Maurice Costil et Alain Martin, animateur des Éclaireurs Malgaches Unionistes.

En 1951, Camp National à Walbach en Alsace où 1.500 E.U. fêtaient les 40 ans du mouvement.
1952, création des "Patrouilles Flèches".
1954, M. Henriet devenait C.N.
1958 , Alain Martin de retour de Madagascar devint, à son tour, C.N.
1961, Jubilé des E.U. au Camp National de Malzieu avec la participation de 3.000 éclaireurs

La crise générale de société qui eut son retentissement dans le scoutisme en France dans les années 1960 n'épargna pas les E.U., d'autant que la Fédération Protestante prenait une position de pointe dans le mouvement progressiste.

Avec la mixité, en 1970, se fondait la FEDERATION DES ECLAIREUSES ET DES ECLAIREURS UNIONISTES DE FRANCE qui est née de la fusion de la section unioniste de la Fédération Française des Éclaireuses (Association rassemblant depuis 1921 des Éclaireuses laïques et des Éclaireuses protestantes) et des Éclaireurs Unionistes de France.

N.B.: une tendance scoute traditionnelle (et non mixte) dite "Azimut" eut longtemps existée. Ses revues (cf. Catapulte) reprenaient même des parties communes au Journal « Raid », ancêtre de « Woodcraft » des scouts Unitaires dans les années 70 (cf. archives du Laboratoire Scout).



autres Association ou proches :

- Les Éclaireurs de l'Armée du Salut regroupés en Champagne.
- Les "Flambeaux et Claires-Flammes" de Strasbourg qui ressemblent à des éclaireurs et sont rattachés depuis 1964 aux Églises Évangéliques de France.
- Les Éclaireurs de l'Evangile, principalement en Isère, très proches des EUF traditionnels de 1968. Ils sont rattachés à la Fédération des Églises Évangéliques de France et non à la Fédération Protestante de France (leur loi comporte 12 articles).
- Les Éclaireurs Adventistes (2) et les EU de Montauban, de Toulouse...

(1) Les Tisons est le nom de l'association très active des anciens éclaireurs et éclaireuses .
(2)Les 6.500 membres de l'Union Franco-Belge de la jeunesse adventiste forment un mouvement scout.



Documentation et sources :

- Articles dans "la Mémoire du Scoutisme" (Louis Fontaine, et Laboratoire scout de Riaumont) voir aussi : Samuel Williamson, le pasteur Gallienne, Henri Bonnamau, Jean Beigbeder, Jacques Guérin-Desjardins, Maurice Costil, Cappy, ou la Fédération Française des Éclaireuses.
- Henri Viaux, "Aux sources du Scoutisme français" Éditions du Scorpion, 1961.
- Corinne Vanwaefalghem, les "EUF", DEA à l'Université de Lille III.
- Arnaud Baubérot , "L'invention d'un scoutisme chrétien, les EU de 1911 à 1921". Éditions les Bergers et les Mages", 1997.
- Arnaud Baubérot, "Les Éclaireurs unionistes de 1911 à 1921". Éditions les Bergers et les Mages, 1997.
- Bulletin de la Société de l'Histoire du Protestantisme Français : tome 143 (juillet-août septembre 1997) sur les "Mouvements de jeunesse" avec références nombreuses aux EU.


[ Ce Message a été édité par: Louis Fruchard le 08-04-2004 06:55 ]

La recherche n'a été exécutée que sur les 100 premiers fuseaux.
Voulez-vous étendre la recherche à tous les fuseaux (temps plus long) :
RSS 

 

 

Semper Parati Scoutopedia, l'encyclopédie scoute

© Fraternite.net | contact
webmestre@fraternite.net