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Forum de La Fraternité du Scoutisme

60 résultats dans 44 fuseaux
Messages publiés par: Montoire
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Message posté le 02-06-2009 à 22:23  Auteur: Montoire
Salut à tous !
J'ai fait la Route Saint Martin en 2008 et c'était très riche ! nous sommes allés de Strasbourg à Colmar en passant par le Mont Saint-Odile.

Cette année la Route 2009 va de Lyon à Ars du 29 juillet au 7 août. Y a t il des paratistes qui viennent déjà ? oui qui sont intéressés ?

infos www.communautesaintmartin.org
FSS

 


Message posté le 08-09-2007 à 08:43  Auteur: Montoire
Citation:
Le 2007-09-03 02:31, Éléphant a écrit

Une pensée particulière pour Caroline Aigle, ancienne EEUdF, première femme pilote de chasse, décédée d'un cancer fulgurant la semaine dernière à l'âge de 33 ans, en laissant derrière-elle deux enfants en bas âge (dont le deuxième, grand prématuré, a été accouché de force deux semaines avant le décès de sa mère).
Les brutions qui hantent ce forum doivent déjà être au courant (elle était ancienne du bahut)
Mes prières accompagnent son époux, ses enfants et sa mère.

FPMG - Éléphant


Caroline Aigle aurait refusé une chimio qui aurait eu des chances d'être fatale pour son enfant.

Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu'on aime...

 


Message posté le 02-09-2007 à 21:33  Auteur: Montoire
Bon eh bien bonjour de Roma a tutti

en u d p
Message posté le 12-08-2007 à 18:45  Auteur: Montoire
en fait c'est bête je serai à Rome début septembre mais le 1er week end et non le second...

 


Message posté le 02-08-2007 à 17:44  Auteur: Montoire
Je peux en ajouter une couche si tu veux...

Ben moi aussi j'etais à Paris à ND des Victoires où nombreux étaient les scouts qui s'étaient déplacés pour renouveler leur engagement de la Promesse.

Alors oui c'était organisé par des gens de l'AGSE (qui ont dû se lever tôt, on l'oublie...) ; et alors... à mon avis l'AGSE n'en a pas fait de tentative de récupération, d'une, et de deux, ils avaient pris les devants en prenant soin de mettre la formule minimale du cérémonial, qui ne fait pas mention de l'Europe. Donc on ne peut vraiment pas les taxer de mauvais esprit, chapeau et merci.
Message posté le 31-07-2007 à 19:32  Auteur: Montoire
Je serai à ND des Victoires à 7h normalement.

Fennec peux tu m'appeler ce soir ?

 


Message posté le 13-07-2007 à 15:45  Auteur: Montoire
Citation:
Le 2007-07-12 17:11, Zebre a écrit

Et je ne la remets pas en cause, mais il était sage que l'Eglise adopte un autre mode de communication au moment où la société entière était en révolte et refusait l'autorité.
Au lieu d'interdire, elle a guidé. Elle a merveilleusement bien anticipé le choc de civilisation que furent les années 70 partout dans le monde, et s'est montré intelligemment compréhensible (même si cela restait trop austère pour beaucoup) au lieu de se détacher tout à fait d'un monde qui ne pouvait plus la comprendre.

Moi je suis plutôt d'accord (cf le doc du 10.07.07). Simplement ce qui est terrible c'est que l'Église a pour mission d'apporter la vérité, et que la clarté a toujours été de mise. Sur le document du 10.07, le Saint-Office rappelle et développe le point concernant l'affirmation du Concile V II selon laquelle 'l'unique Église du Christ subsiste dans l'Église catholique'. Des orthodoxes ont salué que l'Église catholique rompe avec une habitude d'ambiguité tout en exposant leur désaccord avec le contenu.
Message posté le 11-07-2007 à 16:02  Auteur: Montoire
Si je peux ajouter mon grain de sel...

10.07.2007 : à la question Le Concile Œcuménique Vatican II a-t-il changé la doctrine antérieure sur l’Église ?

la Congrégation pour la doctrine de la foi vient de répondre : Le Concile n’a pas voulu changer et n’a de fait pas changé la doctrine en question, mais a bien plutôt entendu la développer, la formuler de manière plus adéquate et en approfondir l’intelligence.

Jean XXIII l’avait très clairement affirmé au début du Concile 1. Paul VI le confirma ensuite 2 ; il s’exprimait ainsi en promulguant la Constitution Lumen gentium : " Le meilleur commentaire que l’on puisse en faire, semble-t-il, est de dire que vraiment cette promulgation ne change en rien la doctrine traditionnelle. Ce que veut le Christ, nous le voulons aussi. Ce qui était, demeure. Ce que l’Église a enseigné pendant des siècles, nous l’enseignons également. Ce qui était jusqu’ici simplement vécu se trouve maintenant exprimé ; ce qui était incertain est éclairci ; ce qui était médité, discuté et en partie controversé, parvient aujourd’hui à une formulation sereine 3. " À plusieurs reprises, les Évêques ont manifesté et adopté le même point de vue 4.

 


Message posté le 09-07-2007 à 18:22  Auteur: Montoire
bah pas vraiment car le pape est un vilain intégriste et depuis hier les femmes ne comptent plus que pour 0,5 !

Humou' humou'........

 


Message posté le 08-07-2007 à 16:04  Auteur: Montoire
Et en fait pour ce qui est de demander la levée des excommunications, elle est explicite dans le communiqué d'hier par exemple :

Citation:
Par le Motu Proprio Summorum Pontificum, le pape Benoît XVI a rétabli dans ses droits la messe tridentine, affirmant avec clarté que le Missel Romain promulgué par Saint Pie V n’a jamais été abrogé. La Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X se réjouit de voir l’Eglise retrouver ainsi sa Tradition liturgique, donnant aux prêtres et aux fidèles qui en avaient été jusqu’à présent privés, la possibilité d’accéder librement au trésor de la messe traditionnelle pour la gloire de Dieu, le bien de l’Eglise et le salut des âmes. Pour ce grand bienfait spirituel, la Fraternité Saint-Pie X exprime au Souverain Pontife sa vive gratitude.

La lettre qui accompagne le Motu Proprio ne cache pas cependant les difficultés qui subsistent encore. La Fraternité Saint-Pie X forme le souhait que le climat favorable instauré par les nouvelles dispositions du Saint-Siège permette - après le retrait du décret d’excommunication qui frappe toujours ses évêques - d’aborder plus sereinement les points doctrinaux en litige.

Lex orandi, lex credendi, la loi de la liturgie est celle de la foi. Dans la fidélité à l’esprit de notre fondateur Mgr Marcel Lefebvre, l’attachement de la Fraternité Saint-Pie X à la liturgie traditionnelle est indissociablement uni à la foi qui a été professée « toujours, partout et par tous ».



Menzingen, le 7 juillet 2007

Mgr Bernard Fellay

Message posté le 08-07-2007 à 15:24  Auteur: Montoire
Voilà

C'est en allemand :

Citation:
PONTIFICIA COMMISSIO «ECCLESIA DEI» Rom, den 19. Juli 2005
N. 108/2005
Sehr geehrte Frau Seitinger,
Gerne antworte ich auf Ihren Brief vom 4. Juli, und gebe Ihnen einen Text aus dem „Katechismus der Katholischen Kirche": dort heisst es: „Ordentlicher Spender der Taufe sind der Bischof und der Priester und, in der lateinischen Kirche, auch der Diakon. Im Notfall kann jeder Mensch, sogar ein ungetaufter, die Taufe spenden, falls er die notwendige Absicht hat: Er muss das tun wollen, was die Kirche bei der Taufe tut, und die trinitarische Taufformel verwenden.

Die Kirche sieht den Grund für diese Möglichkeit im allumfassenden Heilswillen Gottes und in der Heilsnotwendigkeit der Taufe" (Nr. 1256.) Dieses Zitat zeigt, wie sehr die von Ihnen Befragten im Irrtum sind. Solche Unwissenheit ist sehr erstaunlich, da es sich um eine Lehre der Kirche handelt, die nie bestritten wurde. Natürlich sind die Taufen, die von Priestern der Pius-Bruderschaft gespendet wurden, gültig; die so Getauften sind Glieder der Katholischen Kirche, wenn auch solche Taufen nicht der normalen Ordnung der Kirche entsprechen, nach der in den Pfarrkirchen zu taufen ist. Wer gültig getauft ist, gehört immer zur Katholischen Kirche, der einzigen wahren Kirche Christi; erst nachher kann jemand durch die Glaubensunterweisung in eine andere „kirchliche Gemeinschaft"(z.B. die Protestanten) oder Sekte geraten.

Die „Priesterbruderschaft Sankt Pius X." will durchaus in der katholischen Kirche sein, an deren Lehre sie unbeirrt festhält. Allerdings muss gesagt werden,
das sie derzeit nicht in voller Gemeinschaft mit der Kirche ist, da ihr Generaloberer ein Bischof ist, der wegen seiner unerlaubten Bischofsweihe exkommuniziert ist; die Priester der Bruderschaft sind gültig geweihte Priester, ihre Sakramente soweit sie nicht einer besondere Vollmacht seitens des Ortsbischofs bedürfen, wie die Vollmacht zum Beichthören und zur Eheassistenz sind gültig, aber sie selbst stehen nicht in einem regulären Verhältnis zur Kirche, da die Bruderschaft, zu der sie gehören, nicht von der Kirche anerkannt ist. Die gläubigen Laien, die in die Kapellen der Bruderschaft gehen, trifft eigentlich keine Kirchenstrafe.

Das ganze Problem der traditionalistischen Gemeinschaften sei Ihrem Gebet anvertraut, damit sich bald Lösungen verwirklichen lassen, wie sie beiderseits angestrebt werden. Sollte dies erreicht werden, wird die PiusBruderschaft sicher anerkannt und in voller Gemeinschaft mit der Kirche stehen und dann auch römischkatholisch sein.
Mit besten Grüßen bin ich Ihr Camillo Perl, Sekretär der Kommission



essai personnel de traduction
Citation:
PONTIFICIA COMMISSIO «ECCLESIA DEI» Rome, 19/7/2005
N. 108/2005
Chère Madame Seitinger,
Je réponds volontiers à votre lettre du 4/7, et je vous cite un passage du Catéchisme de l'Église Catholique : „Les ministres ordinaires du baptême sont l'évêque et le prêtre, et, dans l'Église latine, le diacre également. En cas d'urgenve, tout homme, même non-baptisé, peut administrer le baptême, pourvu qu'il ait l'intention nécessaire, celle de vouloir ce que veut faire l'Église par le baptême, et utiliser l'invocation à la Trinité qui est la forme du sacrement du baptême; [...]

Cet extrait montre que ceux à qui vous aviez posé la question [et qui vous ont dénié la validité de votre baptême], sont, comme beaucoup, dans l'erreur. Une telle ignorance est très étonnante [...]. Bien sûr que les baptêmes données par des prêtres de la fsspx sont valides ; ceux qui sont ainsi baptisés sont membres de l'Église catholique, même si de tels baptêmes ne sont pas administrés de la manière ordinaire de l'Église, qui est de baptiser dans l'Église paroissiale. Celui qui est validement baptisé appartient toujours à l'Église catholique, la seule vraie Église du Christ, {approx : même si après le baptisé part appartient à une autre "communauté chrétienne" (comme les protestants) ou à une secte}

La Fraternité St Pie X est donc dans l'Église catholique, car elle adhère résolument à son enseignement. Toutefois, il faut dire qu'elle n'est pas en ce moment en communion avec l'Église, car son supérieur géénral est un évêque qui du fait de son ordination épiscopale sans mandat a été excommunié ; les prêtres de la Fraternité sont validement ordonnés prêtres - leurs sacrements sont également valides, sauf quand ils requièrent la juridiction de l'Ordinaire du lieu, comme pour pouvoir absoudre et recevoir les consentements d'un mariage, mais eux-mêmes ne sont pas en situation régulière vis à vis de l'Église, car la Fraternité à laquelle ils appartiennent n'est pas reconnue par l'Église ici on parle uniquement de la structure juridique de la Fraternité. En gros les prêtres ne sont pas incardinés. Les fidèles laïcs, qui fréquentent les chapelles de la Fraternité, ne tombent sous aucune peine canonique. donc ni suspense, ni interdit, ni excommunication...

approx : Tout le problème des communautés traditionnalistes, avec votre prière, pourrait bientôt trouver une solution à laquelle on aspire des deux côtés.
On doit atteindre cette situation pour que la Fraternité soit reconnue et qu'elle soit en pleine communion avec l'Eglise et donc catholique-romaine.

avec mes meilleures salutations
Camillo Perl
Secretaire de la Commission Pontificale ED.



[ Ce Message a été édité par: Montoire le 08-07-2007 à 15:54 ]
Message posté le 08-07-2007 à 15:19  Auteur: Montoire
En effet il n'y a pas de demande, mais elle est implicite. Rome sait qu'ils attendent la levée unilatérale des sanctions.

Je ne serai pas si catégorique que toi sur la mauvaise foi de Mgr Lefebvre ; déjà ça fait même pas vingt ans, ensuite c'était quelqu'un d'âgé qui avait peur. Les autres n'étaient pas âgés, mais ils ont aussi eu peur.

Alors si RIEN ne justifie une mise volontaire en dehors de l'Eglise, il n'en reste pas moins que s'ils étaient de bonne foi convaincus de l'état de nécessité, ça remet pas mal de choses en question sur l'intention.

Alors peut-être y avait-il pleins de sédévac autour, etc... mais Mgr Lefebvre était un homme de prière et j'ai du mal à voir comment on peut être persuadé de sa mauvaise foi sans connaître le dossier. Ce dont on peut aujourd'hui être sûr, c'est que sa bonne foi n'est pas avérée. Nuance !

En tous cas, tant que sa bonne foi n'est pas établie, garder l'excommunication permet de garantir aux fidèles une prudence de la part de l'Eglise. C'est indéniable.

Mais s'ils sont de bonne foi persuadés qu'ils ont toujours été de bonne foi, le problème n'est pas le même en terme d'intention et donc en terme de solution.

Je ne suis pas un expert du problème... mais je pense qu'il ne faut, nous qui n'avons aucune des pièces du dossier et qui étions bien jeunes à l'époque, pas jeter la pierre et se contenter de ce qu'enseigne l'Eglise par les voix autorisées uniquement.

Ainsi, les évêques de la Fraternité sont sous le coup d'une peine d'excommunication, latae sententiae pour sacre sans mandat pontifical, confirmée par la suite ;

les prêtres de ladite Fraternité sont suspens parce qu'ils appartiennent à une fraternité qui a à sa tête un évêque qui n'a pas la pleine communion avec le Saint-Siège (déclaration de Mgr Perl en 2005)

et les fidèles ne sont frappés d'aucune peine canonique (d'interdit, par exemple) ; et les évêques, prêtres et fidèles sont des catholiques romains. (tjs la même déclaration de Mgr Perl, secrétaire de la Commission Pontificale Ecclesia Dei en 2005).

Je vous retrouve le texte as soon as possible.
Message posté le 08-07-2007 à 10:51  Auteur: Montoire
C'est un peu plus compliqué que ça...

Il y a réellement une sanction canonique, l'excommunication, qui pèse sur les évêques de la Fraternité Saint-Pie X.

Simplement, ils contestent par divers arguments le fait qu'ils aient mérité cette sanction et donc qu'ils doivent en subir les conséquences.

Ils demandent donc que Rome lève la sanction qu'elle a confirmée en 1988, mais eux estiment ne rien avoir à faire de plus.

Le problème se situe donc à Rome (eh oui !) le vrai dilemme est de savoir si Mgr Lefebvre était de bonne foi pour son invocation de l'état de nécessité lors des ordinations. Si tel est le cas, une levée des excommunications unilatérale, pleine de sens, comme l'exigent les évêques de la Fraternité, est possible canoniquement parlant. Politiquement c'est une autre affaire...

De la levée des excommunications on arriverait très vite à la levée des suspenses qui frappent les prêtres de la Fraternité.

 


Message posté le 07-07-2007 à 22:17  Auteur: Montoire
Ah mais c'est cool t ça Ak' !!! Trop bien même !

Dommage que tu sois dans le mauvais axe, y a Albane qui me cache, entre Alexandre et Girafe...

 


Message posté le 07-07-2007 à 22:12  Auteur: Montoire
Le refus de célébrer selon le rite de Paul VI ne doit pas être un refus "de principe", mais avoir un argument recevable.

Par exemple, les prêtres de l'Institut du Bon Pasteur ont dans leurs statuts l'usage exclusif des livres liturgiques de 1962, leurs statuts leur fournissent donc un argument recevable. Un refus ne serait pas un refus "de principe".

 


Message posté le 01-07-2007 à 02:35  Auteur: Montoire
oui je pense que pr des low cost ca peut etre limité en nb de personnes... ca pourrait etre pour ceux qui ne pourraient pas rejoindre par le transport global.

www.vueling.com

 


Sujets associés :
Message posté le 01-07-2007 à 02:32  Auteur: Montoire
Un FSE de Lorraine en routier au stand de la chorale interscoute, moi !

 


Message posté le 29-06-2007 à 19:49  Auteur: Montoire
Je viens de voir ton message, Orque J.

Aïe aïe Aîe en effet...

 


Message posté le 29-06-2007 à 19:44  Auteur: Montoire
Pas le temps de tout lire (sauf Ak' !)

Moi je ne crie ni à la supercherie, ni au miracle. Pour l'instant il s'agit d'un phénomène inexpliqué qui méritera peut-être un jour une dévotion particulière. Pour l'instant c'est non.

 


Message posté le 29-06-2007 à 19:40  Auteur: Montoire
Lundi auront lieu des prises de soutane à l'Institut du Christ Roi Souverain Prêtre. C'est une très grande joie pour le forum.

Souvenez vous également à cette occasion de Bruno Valadier, décédé voici un an à l'âge de 16 ans.


====

Priez également pour le Saint Père, en ce jour de la fête des Saints Apôtres Pierre et Paul, et pour les évêques, leurs successeurs surtout que y en a qui sont pas au mieux de leur joie...

 


Message posté le 29-06-2007 à 19:32  Auteur: Montoire
Citation:
[...]

 


Message posté le 29-06-2007 à 19:28  Auteur: Montoire
Le contraire evidemment, c'est pas évident...

 


Message posté le 29-06-2007 à 19:25  Auteur: Montoire
N'oubliez pas l'avion... on trouve des Grenoble Rome à une quarantaine d'euros sur Blu Express, des Paris Rome,

l'aller retour en avion par Vueling est à 103 euros aujourd'hui (10 de moins si on part le samedi matin)

Bref à ne jamais oublier les low cost... !

 


Message posté le 29-06-2007 à 19:09  Auteur: Montoire
Pour Sablé il y a la troupe SUF de La Flèche

et des Europa Scouts à Chateaugontier je crois.

 


Message posté le 29-06-2007 à 19:03  Auteur: Montoire
pour les SUF au gouvernement on a l'ACG de Montoire qui vient d'entrer au cabinet de Christine Boutin...

 


Message posté le 07-06-2007 à 11:22  Auteur: Montoire
Chers tous,

UN CEP2 est ouvert du 13 au 20 juillet 2007 sur la province du Haut Languedoc – SVP diffuser largement l’information.
(8 inscrits)
A plusieurs reprises, des chefs et cheftaines nous ont signalé le peu de CEP2 proposés. Aussi cette année, la Karela, ACPrL et mestres de camp avons fait l’effort de répondre à cette demande en organisant 2 CEP2 supplémentaires.

Il est primordial pour la vie du louvetisme que :
· Les Akela aillent jusqu’au bout de leur formation, contribuant ainsi à une meilleure qualité de louvetisme,
· Puissent camper plus que 4 jours.
· et ensuite, avec une bonne expérience d’Akela envisager une formation au Seeonee.

NOUVEAU : un CEP1 est ouvert aux mêmes dates et sur le même lieu.
(CEP sera un tremplin pour vos chefs et leur permettra de démarrer l’année en toute tranquillité !)

Merci pour votre aide.
Bien amicalement
Pour la Karela
Pascale Felloni

 


Message posté le 05-05-2007 à 20:50  Auteur: Montoire
promis !

 


Message posté le 06-04-2007 à 21:21  Auteur: Montoire
C'est en effet ce à quoi j'ai assisté tout a l'heure.

 


Message posté le 08-02-2007 à 11:27  Auteur: Montoire
http://carnetdebord.oxatis.com/PBSCCatalog.asp?ItmID=1465742


 


Message posté le 07-02-2007 à 16:56  Auteur: Montoire
Et c'est pas parce qu'on prie fidèlement la liturgie des heures qu'on est des moines !

 


Message posté le 22-01-2007 à 17:18  Auteur: Montoire
Ca fait encore un prêtre mort cette semaine, le père Henri Grouès (pour les incultes, c'est le vrai nom de l'abbé Pierre qui est un frère capucin)...

 


Message posté le 19-01-2007 à 10:52  Auteur: Montoire
Je t'aurais bien aidé vu que niveau CEP c'est bon pour moi... mais en fait, je serai en stage...

 


Message posté le 05-01-2007 à 19:18  Auteur: Montoire
Franchement je n'ai pas le courage de tout lire...

Mais les anges ne choisissent pas de faire le mal ou le bien. Ils ont choisi.

Ce sont des créatures parfaites dotées de liberté, ce qui fait qu'ils ont choisi une fois pour toute de faire le bien ou le mal. Le péché des anges déchus ne laisse pas la place au repentir car il est "total".

J'ai une fois entendu dire que la chute fut pour les anges comme la mort pour un homme, au niveau du choix d'aimer Dieu et de se laisser aimer par lui : après, trop tard.

 


Message posté le 02-01-2007 à 11:16  Auteur: Montoire
Encore un prêtre est décédé ce matin. RIP.
Message posté le 01-01-2007 à 03:01  Auteur: Montoire
*Je confie à votre prière un prêtre décédé brutalement, sa communauté, et un ami très touché par cette disparition.

Et je confie également à votre prière tous ceux qui prendront des engagements en 2007.

 


Sujets associés :
Message posté le 24-12-2006 à 20:40  Auteur: Montoire
Je ne trouve pas le contenu de Lahitton en ligne.

Citation:
Voici un texte qui vient du service national des vocations. (http://snv.free.fr ou directement)
Un débat illustre bien les conséquences pratiques de cette intériorité mutuelle de l’Eglise locale avec ses ministères : quelles sont les conditions pour devenir prêtre ? Suffit-il « d’avoir la vocation » ? de se sentir appelé à cette forme « supérieure » de sainteté ?

Au début du XXe siècle, la célèbre controverse Branchereau-Lahitton [ 8 ] a permis de clarifier la question, théologiquement du moins, car en pratique…

Branchereau était un sulpicien qui défendait une approche subjective de la vocation : l’appel est l’effet d’une grâce divine déposée directement par Dieu dans le cœur du candidat. C’est la théorie dite « des germes de vocation » dans le cœur des candidats au ministère. Le rôle de l’Eglise est alors de fortifier cette grâce après l’avoir discernée. La vie laïque s’applique à tous ceux qui ne se sentent pas appelés à autre chose. Il y a vocation sacerdotale là où Dieu appelle, de façon impérative, pour confier un honneur et un pouvoir particuliers. La pastorale des vocations s’appuie alors sur cette théorie des germes : l’appel existe, mais il est étouffé dans le cœur des jeunes gens (on demande alors aux petits séminaires de les accueillir plus tôt, avant qu’ils ne soient corrompus par l’esprit du monde). Le signe de la vocation, c’est l’attrait personnel, conjoint aux aptitudes requises. S’il y a les deux, c’est que la vocation est réelle et vient de Dieu. Voilà la théorie qui a largement marqué (et encore aujourd’hui) l’accès aux ministères. Le lien Eglise locale - ministres y disparaît, au profit de l’aventure personnelle de l’aspirant au pouvoir sacramentel. Elle oublie le souci d’édification du corps ecclésial, et fait du prêtre « l’homme de Dieu », l’homme du sacré.

C’est une logique « de candidature » (J.-P. Russeil), basée sur le volontariat, faite de démarches individualistes coupées de la communauté.

Lahitton, professeur au séminaire d’Aire et Dax, contestait fortement cette théorie des germes de la vocation. Pour lui, c’est l’appel adressé à quelqu’un par l’Eglise hiérarchique qui est le critère déterminant de la vocation au ministère. Il critique les petits séminaires qui confondent vie parfaite et ministère : le ministère est subverti en un moyen d’être plus proche de Dieu, au lieu de vouloir servir l’Eglise dans le monde. L’expression « vocation tardive » traduit bien cette conception où l’appel est censé exister normalement dès l’enfance, mais à la manière d’une vocation religieuse dévoyée… La dimension infantile de la théorie des germes de vocation dès l’enfance se traduit par une recherche éperdue des germes de vocation, confondus avec la certitude subjective d’être appelé. Pour Lahitton, c’est l’appel objectif par l’Eglise (évêque) qui est déterminant. Les ministres sont appelés, même s’ils n’ont pas d’attrait personnel : ainsi Aaron, Marie, les Apôtres… D’ailleurs, dans l’Eglise ancienne, beaucoup d’hommes furent appelés à l’épiscopat contre leur gré (invitus, coactus comme l’écrit Congar) : Ambroise de Milan (vox populi, vox Dei), Grégoire de Nazyanze (ordonné malgré lui !), Grégoire de Nysse, Augustin, Jean Chrysostome, Cyprien, Germain, Hilaire, Martin, Paulin de Nole, Grégoire le Grand, Rémi, Philippe de Néri (sacerdos ex obedientia factus, disait-on de lui), etc… Voilà, parmi les plus connus, quelques prêtres qui n’avaient pas « l’attrait » pour le ministère, mais qui furent des pasteurs et des saints remarquables ! Et les liturgies d’ordination commencent encore par une phrase rituelle qui a tout son sens : « Père, la sainte Eglise vous présente son fils N. » A laquelle répond l’interrogation de l’évêque : « Savez-vous s’il a les aptitudes requises ? » Les aptitudes en question ne proviennent pas du désir du candidat, mais doivent être attestées par les chrétiens consultés. Cette ligne « objec­tive » où l’appel vient de l’Eglise plus que d’une motion intérieure peut s’appuyer sur la thèse de l’idonéité chère à saint Thomas : les deux critères pour ordonner quelqu’un sont d’avoir une « bonne vie », et une science compétente. Il suffit donc de trouver des hommes idoines et de les ordonner.

C’est une logique « de désignation », basée sur l’appel objectif de l’Eglise, reçu librement par le sujet.

Branchereau exposait lui-même les trois voies de l’appel aux ordres : par manifestation surnaturelle (ex. : les Apôtres), par appel de l’autorité légitime, par un ensemble de faits dont on puisse conclure assez probablement que Dieu appelle (directement : discernement par induction). Pour Branchereau, c’est la troisième voie qui est la plus courante, et la voie normale. Pour Lahitton, c’est la deuxième voie (il y range même les Apôtres, en tant qu’appelés par Jésus). Il est intéressant de noter d’ailleurs une légère contradiction dans le raisonnement de Branchereau pour la deuxième voie : il y évoque le cas du Pape appelant un prêtre à être évêque, et celui d’un évêque appelant un homme à être prêtre. Mettre les deux vocations épiscopale / presbytérale en parallèle est juste, mais s’accorde mal avec la théorie selon laquelle l’appel au presbytérat serait surtout intérieur et subjectif, alors qu’il n’est en est pas de même pour l’épiscopat ! Certes, il était légitime au temps de Paul d’aspirer à la « noble fonction » de l’épiscopat (1 Ti 3, 1), mais Paul décrit ensuite une liste de conditions exigeantes, où l’Eglise doit en quelque sorte « contrôler » cette aspiration personnelle. Si l’Eglise appelle l’évêque, pourquoi ne le ferait-elle pas, a fortiori, pour les autres ministres ?

La solution à cette controverse a été formellement énoncée par Pie X, dans un jugement publié dans les Acta Apostolicae Sedis en 1912, et qui acquiert par là une force magistérielle très haute. [(désolé pour saint Augustin)] « Nul n’a jamais aucun droit à l’ordination, antérieurement au libre choix de l’évêque. » Ni « l’attrait intérieur », ni les « invites du Saint Esprit » ne sont nécessaires, mais seuls l’appel de l’évêque, et de la part du candidat « l’intention droite unie à l’idonéité ». Les ICI de 1958 donnaient ce commentaire d’un évêque de l’époque (Mgr Pfliegler) : « Désormais, ils [les supérieurs de Séminaire] ont moins à se demander : “Celui-ci est-il appelé” ? que : “Celui-ci est-il capable, assez affermi pour qu’on puisse compter sur sa persévérance” ? »

La réflexion et la pratique actuelle autour du ministère diaconal permet de renouveler cette intuition : une telle vocation ne peut remonter à l’enfance, et demande des années de stabilité (conjugale, familiale, professionnelle…) avant de pouvoir ordonner diacre quelqu’un. Peu de gens « aspirent » en pratique au diaconat comme à une « vocation », et une vocation de type « religieux » (au sens de l’Ecole Française qui faisait du prêtre le « religieux de Dieu » aux XVII-XVIIIe ). Les diocèses qui, en France, ont beaucoup de diacres permanents sont ceux où, sous l’impulsion de l’évêque tout particulièrement, la question a été posée à beaucoup sans attendre qu’ils se présentent. Les diocèses où il y a peu de diacres sont ceux où on a peu posé la question…

Que conclure de cette controverse Branchereau-Lahitton ?

Pour l’accès à un ministère, il faut la rencontre de l’appel (objectif) de l’Eglise (via l’évêque et les chrétiens associés à la formation, et consultés ensuite) et de la liberté (subjective) ainsi suscitée et éveillée. C’est ainsi qu’on peut réinterpréter positivement la théorie sulpicienne : elle pose la question, essentielle, de la liberté du sujet, de son désir le plus profond. Il faut une connivence du sujet avec la mission à laquelle il est appelé. C’est un signe que cette mission peut lui être confiée. Une théorie purement objective ne peut suffire, car elle risque de dévier vers une définition trop autoritaire, se traduisant par une manipulation et un forcing sur les personnes. Dans une communauté monastique, il est possible de penser un fonctionnement autoritaire où un abbé connaît les frères et peut les appeler. C’est moins adapté dans notre société et nos diocèses… On peut donc dire que l’attrait personnel est important, bien que second par rapport à l’appel objectif de l’Eglise. Mais il y a bien une dimension théologale dans ce critère du consentement de la liberté du sujet à ce qui lui est demandé. C’est la réponse personnelle et libre à la figure du ministère qui est proposée par l’Eglise. C’est une passion (pour la vie ecclésiale, pour le service du Royaume). Cependant, la prise de position de Pie X tranche nettement en faveur de l’appel objectif (la logique « de désignation »).

La vocation est d’abord un appel qui atteint son but, et non une qualité subjective. Cet appel conjugue les trois dimensions suivantes :
- les besoins de l’Eglise,
- les appels de l’Eglise, notamment par sa hiérarchie (l’évêque de manière décisive),
- la réponse de la liberté du sujet.

La question du célibat est ainsi plus facile à traiter : on n’a pas forcément la vocation au célibat, puis au ministère de prêtre. C’est parce qu’on envisage d’accepter librement l’appel au ministère presbytéral qu’on peut aussi accepter positivement l’exigence du célibat qui y est lié dans la discipline latine. Cette figure du ministère dans le célibat peut rencontrer une passion de quelqu’un pour le Royaume, passion que Jésus admirait déjà (Mt 19, 12).

L’envoi massif de fils de paysans au petit séminaire pouvait relever d’un mélange entre les deux lignes présentées, une logique « familiale et sociale », sorte de « génération spontanée » mais encouragée socialement.

Etre prêtre était normal, vivable, bien identifié et socialement reconnu. Alors les parents pouvaient dire à leur enfant : « Va voir au petit séminaire si tu peux répondre. »

Résumons-nous : la vocation aux ministères est un processus objectif. C’est la mise à part de quelques hommes qui se trouvent voués de manière spécifique au service de ce corps de salut qu’est l’Eglise. Il s’agit ainsi de marquer la place de la Tête du Corps qu’est le Christ-Tête. L’Eglise fait retentir cet appel de façon multiforme, et suscite ainsi l’attrait, le désir personnel de certains.

C’est un charisme institué : à un homme est donné d’être ministre de la grâce de Dieu dans et par l’Eglise. Que cet appel ait été sollicité explicitement ou non ne change pas la médiation de l’Eglise et l’importance de son rôle dans la formation du candidat, et la vérification de ses aptitudes au ministère.

Rappelons quelques formules patristiques géniales en ce sens :

« L’évêque est dans l’Eglise et l’Eglise est dans l’évêque » (St Cyprien).

Les papes du Ve siècle étaient clairs : « Qu’on n’impose pas un évêque au peuple sans la volonté de celui-ci » (St Célestin, Lettre 4). « Celui qui doit présider à tous doit être élu par tous » (St Léon, Lettre 10). Et la célèbre formule d’Augustin : « Avec vous je suis chrétien, pour vous je suis prêtre. »

Hélas, comme le note Mgr Rouet [ 9 ] :

« Tout se passe comme si, en fait, Branchereau finissait par triompher. La société actuelle donne raison à la motion intérieure, alors même que l’Eglise réaffirme nettement que c’est elle qui reconnaît une vocation et appelle
. La vocation au presbytérat souligne ainsi un point de forte opposition entre la théologie pratique de l’Eglise et les tendances de la société. Souvent l’appel de l’Eglise ressemble à une incantation rarement passée dans les faits : elle appelle en général et accueille en particulier. »

Je crois que notre Eglise progresse énormément dans le sens d’une pastorale de la proposition, et donc de l’appel. Pour tous les services ecclésiaux, pour le diaconat (et depuis longtemps pour l’épiscopat), nous prenons de plus en plus l’habitude de solliciter des personnes, et d’éveiller leur liberté pour répondre. Pourquoi désespérer de notre capacité à le faire aussi pour le presbytérat ? La tâche d’éducation du peuple chrétien en ce sens est l’un des défis les plus importants de la pastorale des vocations…
Message posté le 21-12-2006 à 12:51  Auteur: Montoire
Citation:
Le 2006-12-20 11:14, Zebre a écrit
Citation:
"le séminariste n'a pas à se demander durant le séminaire si Dieu l'appelle"
Désolé, mais dit comme c'est dit, c'est une bêtise monstrueuse, tu admets d'ailleurs que cela a été mis à l'index. Excuse moi de connaître un peu le séminaire, mais s'il y a bien une question que le séminariste doit se poser durant le séminaire, c'est si Dieu l'appelle ou pas !

Pour ce qui est de l'index, il s'agit d'opposants à Lahitton qui avaient fait passer le livre au Saint-Office parce qu'il dérangeait, en particulier par des formulations comme celle-là.

Mais le fait de dire que j'admets que ce livre ait été à l'Index est un contre argument : Saint Pie X est venu sortir ce livre de l'Index en approuvant l'intégralité de son contenu.
Message posté le 19-12-2006 à 23:49  Auteur: Montoire
Citation:
Le 2006-12-18 21:51, Zebre a écrit
Citation:
"le séminariste n'a pas à se demander durant le séminaire si Dieu l'appelle"
Je ne connais pas ce chanoine Lahiton, mais je ne sais pas d'où il sort une telle bêtise aussi grosse que lui.

A replacer dans le contexte : je précisais juste après que c'était en fait selon lui que le discernement est plus du ressort de l'Eglise que du séminariste. Mais cette bêtise a été sortie de l'Index par Saint Pie X lui-même alors je te trouve un peu présomptueux vis à vis d'un sujet que ledit Chanoine et ledit Pape maîtrisaient certainement mieux que toi.

Citation:
Le 2006-12-18 21:57, Zebre a écrit
Un jeune homme qui quitte le séminaire après un an, ce n'est pas un garçon qui s'est trompé ou qui a échoué.

Au contraire, c'est un jeune homme qui s'est donné les moyens de vérifier sa véritable vocation. Peut-être le sacerdoce. Peut-être pas, mais il a pris des moyens importants pour se poser la question et y répondre, par une année de séminaire.

Le garçon qui au terme de cette année (ou deux s'il le faut) a découvert sa vocation (le mariage) n'a rien perdu... il a tout gagné, il sait désormais et prendra une décision d'homme, plus consciente et plus avertie que les autres sans doute, vers le mariage.

Thibault, tes amis n'ont pas changé de vocation, ils l'ont affinée et ainsi l'ont mieux découverte.


Honnêtement ça n'est pas si simple, Zèbre. Il peut très bien s'agir de gens qui ont utilisé cette liberté que nous laisse le Seigneur de ne pas persévérer dans une voie, quelles que soient les prédispositions. Dans tous les cas ils n'ont pas changé de vocation, ils n'en avaient pas une particulière pour l'instant !
Message posté le 18-12-2006 à 20:03  Auteur: Montoire
Je suis désolé ces temps ci je ne fréquente plus trop le forum, mais il y a un premier point qui m'incite à réagir...

Vous sembliez oublier le rôle de l'Eglise, pour ce qui est de la vocation sacerdotale. Je suppose que certains d'entre vous ont seulement oublié de le mentionner et en sont tout à fait conscients, mais bon cette omission m'incite à vous rappeler que le temps du séminaire est pour le séminariste principalement le temps de la préparation au sacerdoce, le discernement de la vocation revenant essentiellement à l'Eglise (à ceux à qui elle a confié ce soin) à partir de l'entrée au séminaire.

Le chanoine Lahitton prétendait dans un livre du début du XXème siècle, intitulé La vocation sacerdotale (concours : devinez le thème...), que "le séminariste n'a pas à se demander durant le séminaire si Dieu l'appelle". Par cette formule, il signifie que c'est le travail de l'Eglise, et que celui qui est entré par "libre élection" au séminaire doit désormais se consacrer quasi-exclusivement à la progression dans la vie spirituelle, l'accroissement de son intimité avec Dieu et la quête de l'idonéité sacerdotale.


Quant à la vocation, elle n'est pas prédestination. Une prédestination - qui n'existe pas - ne peut pas évoluer.
La volonté de Dieu peut évoluer : Dieu se laisse fléchir et attendrir par nos prières (cf Cana, par exemple, où Jésus ne semble pas vouloir a priori s'occuper de la pénurie en vin, et où Marie, déjà médiatrice de toutes les grâces, lui porte déjà la prière des hommes).

La vocation au mariage est, nous rappelle dans son entretien dans Famille Chrétienne le Père TD Humbrecht, op, de l'ordre du naturel, par opposition à la vocation sacerdotale, par exemple, qui est de l'ordre du surnaturel.
En cela, celle-ci n'évolue pas : tout jeune homme, toute jeune femme, possède une vocation au mariage qui est naturelle. Et par le mariage - l'acte qui scelle le contrat, qu'il soit civil pour des non baptisés ou sacramentel pour deux catholiques, Dieu donne désormais la vocation au mariage de manière définitive tant que ce contrat, qui est un contrat naturel doté de grâces sacramentelles, dure. C'est à dire uniquement à la mort du premier des deux.

Citons Mgr de Hercé, "père, maire et évêque", puisque certains de mes amis descendent de lui de son seul mariage, qu'il fut maire de Laval, et évêque de Nantes (début XIXème). Anecdote racontée par un de mes hôtes de camp scout, il y a 2 ans. Sa vocation a donc "évolué", comme on dit, puisqu'après le décès de son épouse il a reçu la vocation sacerdotale et même la vocation apostolique.

Seulement, dès l'instant où il a reçu l'ordination, Dieu l'a appelé de manière surnaturelle, par l'intermédiaire de l'évêque qui lui conféra les saints ordres, à le servir en tant que ministre. Tu es sacerdos in aeternum, secundum ordinem Melchisedech. L'âme est imprimée du caractère sacerdotal, marquée de ce noble sceau, à jamais, et à jamais assisté par une grâce christoconformante, selon l'expression, que j'ai fini par retenir en lisant le Cardinal Journet.
C'est pour cela que l'on met les cercueils des prêtres la tête vers l'autel lors des funérailles : le sacerdoce n'est pas qu'une fonction, il ne s'arrête donc pas à la mort, il s'agit du corps d'un prêtre pour l'éternité.

Ainsi la vocation peut évoluer, mais de diverses manières.

Je n'y connais absolument rien, mais comme il existe pour les prêtres la réduction à l'état laïc - qui ne retire pas au prêtre son caractère imprimé dans l'âme, les religieux doivent bien avoir dans de cas très rares la possibilité d'être relevés de leurs voeux.

Ainsi, j'ai bien l'impression que la vocation au mariage est inhérente à l'homme mais liée de manière active à l'existence d'un lien, d'un contrat ; que la vocation religieuse est liée à la prononciation des voeux ; et que la vocation sacerdotale est liée au sacrement de l'ordre.

La seule qui soit éternelle, semble t il, c'est la dernière...

 


Message posté le 13-12-2006 à 17:22  Auteur: Montoire
Moi je suis passé par chemins de la baie l'été 2005. Rien, mais alors rien, à redire.

 


Message posté le 06-12-2006 à 20:48  Auteur: Montoire

 


Message posté le 29-11-2006 à 11:30  Auteur: Montoire
Zebre. sur legifrance tu n'as pas je crois le bulletin officiel des ministères mais bon soit je me trompe, soit tu les as sur les sites des ministères.

celui du 15 nov n'est pas encore en ligne.

 


Message posté le 20-11-2006 à 10:07  Auteur: Montoire
Ouais je suis dessus là... déjà 18 pages (je rigôôôôôle)

 


Message posté le 16-11-2006 à 19:34  Auteur: Montoire
Moi je pourrais chercher un peu plus sur le lieu !!! j'ai un coloc ACDL

 


Sujets associés :
Message posté le 16-11-2006 à 01:03  Auteur: Montoire
C'etait le fait ridicule de ressortir le pantin nazi justement qui me faisait dire "cet argument m'est indifférent"

 


Message posté le 15-11-2006 à 13:33  Auteur: Montoire
Citation:
Chers Frères et Sœurs,

L’Apôtre Paul nous parle du Saint Esprit et de sa présence en nous. Il nous montre son influence non seulement sur l’agir, mais aussi sur l’être du chrétien. L’Esprit nous rejoint jusque dans nos profondeurs les plus intimes. Il nous établit dans une relation de filiation par rapport à Dieu, qui nous considère comme ses enfants.

Paul nous enseigne qu’il n’y a pas de vraie prière sans la présence de l’Esprit en nous. En effet, l’Esprit supplée nos faiblesses et il offre au Père notre adoration et nos aspirations les plus profondes. Cela demande une communion vitale avec l’Esprit, qui agit plus que nous pouvons ou que nous savons faire. D’autre part, l’Esprit nous introduit dans le rythme de la vie divine, qui est vie d’amour, nous rendant participants des relations qui existent entre le Père et le Fils. Ainsi, lorsque Paul énumère les fruits de l’Esprit, il met l’amour à la première place. Et, puisque par définition l’amour unit, cela signifie que l’Esprit est créateur de communion dans la communauté chrétienne et qu’il nous incite à nouer des relations de charité avec tous les hommes. C’est pourquoi, lorsque nous aimons, nous donnons de l’espace à l’Esprit et nous lui permettons de s’exprimer pleinement.

Je suis heureux de vous accueillir, chers pèlerins francophones.Je salue particulièrement les jeunes prêtres de la Province de Montpellier, accompagnés de Mgr Alain Planet, Évêque de Carcassonne, ainsi que les assistants spirituels de l’Union internationale des Guides et Scouts d’Europe et les responsables des Associations familiales catholiques de France. Que l’Esprit Saint fasse grandir en vous l’amour, la joie, la communion et l’espérance ! Avec ma Bénédiction apostolique!

 


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Message posté le 15-11-2006 à 13:06  Auteur: Montoire
Citation:
Le 2006-11-14 13:13, Luc a écrit

Citation:
L'Eglise n'a pas à prouver avec des arguments qu'elle est dans le vrai .... Elle détient la Vérité.



Sans le savoir, cet argumentation dans sa forme et non dans son sujet a été exatement LE MEME DISCOURS que tenait Gobbels en 1942. Le meme, tu met juste autres chose que "Eglise". l'obeiscence aveugle conduit a la ruine, l'eglise en est le modele le moins pire de tous.


Désolé mais moi ces arguments ça me fait rien du tout...
Message posté le 13-11-2006 à 15:07  Auteur: Montoire
Citation:
Faut-il laisser aux prêtres la liberté de célébrer la messe en latin ?

Oui : 79 %
Non : 21 %

SURPRISE et raz-de-marée sur le figaro.fr : s'il existe plusieurs chapelles dans l'Église romaine, il est un seul cri du cœur chez 79 % des plus de 8 500 lecteurs internautes qui nous ont répondu : oui. La latitude de célébrer la messe en latin est un droit élémentaire, surtout dans notre pays féru de liberté, dites-vous. Tout geste visant à «fermer la cicatrice » de Vatican II est bienvenu, soutenez-vous. Si Benoît XVI envisage la possibilité d'autoriser largement les prêtres à célébrer la messe selon le rite de saint Pie V- c'est que, plutôt que d'églises vides, la chrétienté a besoin des forces vives des fidèles de toutes sensibilités », prévenez-vous.
Cette avalanche latinisante ne doit pas faire oublier les quelque 21 % d'internautes estimant la controverse accessoire, voire « dangereuse ». « L'abandon du latin a permis au peuple de comprendre enfin le sens des sermons », rappelle Guillaume. Béatrice, lugubre : « La messe dominicale est de plus en plus dédaignée par la jeunesse, et la situation serait pire si elle n'était pas en français. »
Sinon, bienvenue dans un catholicisme sans oukases, même si ces derniers relèvent plutôt du fantasme : en 1969, Rome a laissé le choix entre la langue de l'Église et le langage vernaculaire. Oui au latin, donc, au nom de la réconciliation avec les « lefébvristes », espèrent certains en regardant vers ceux qui, même après la main tendue de Jean-Paul II en 1988, n'ont jamais oublié la liturgie multiséculaire de l'office tridentin. D'ailleurs, « les actuelles tensions viennent surtout des « réintégrés » qui estiment l'Église dans l'erreur depuis Vatican II», analyse Claude.
Oui au nom du malentendu souvent regretté par nos lecteurs internautes entre les ouailles et l'épiscopat, soupçonné de « complexe antiromain ». Un puriste rappelle : « Vatican II affirme l'exact contraire de certains de nos bons évêques français. Le français n'est qu'une dérogation à la règle d'usage. » Un autre, radical : « Le fait de se revendiquer catholique semble faire peur à certains responsables de l'Église de France, qui semblent incliner vers un schisme gallican. »
Oui au nom de l'universalité d'une langue commune à tous les chrétiens de tous les pays. Oui au nom du bon sens et du dialogue, répétez-vous. Car, comme dit Alban, « un peu de tolérance, que diable!».

Véziane de Vezins (Le Figaro du Lundi 13 novembre 2006)

 


Message posté le 11-11-2006 à 10:44  Auteur: Montoire
LE Figaro fait un sondage, dont l'intitulé est bigrement mal posé, en ligne, ce week end.

Mal posé parce que comme dit ci-dessus, le latin n'est pas caractéristique du rit tridentin, mais il s'agit bien d'un sondage pour la messe traditionnelle, au vu des photos et de leurs légendes.

 


Message posté le 08-11-2006 à 22:43  Auteur: Montoire
Renseignements pris, ce concours est ouvert à tous.
Message posté le 08-11-2006 à 18:32  Auteur: Montoire
L'annonce initiale :
Citation:
Bonjour ! ça vous dirait de gagner un WE à ROME pour 3 amis (avion, hôtel, restos offerts... ) ??? ou encore des ipods, un an de cinéma offert, etc... ? tout cela en découvrant la joie de mettre vos neurones au service de votre foi !!! ouvert à tout lycéen et étudiant de moins de 25 ans. RDV sur www.concoursdetheologie.com

Ne le précise pas.
Message posté le 08-11-2006 à 01:17  Auteur: Montoire
Une annonce de l'Abbé Pierre-Hervé Grosjean (Versailles)
Site officiel : http://www.concoursdetheologie.com
Faites suivre et participez en masse !
Télécharger le sujet (format PDF)

Citation:
Moi, faire de la théologie ?

Eh oui, c'est à toi que nous voulons donner l'occasion de t'initier à la théologie ! Tu es lycéen ou étudiant : cela signifie que, aujourd'hui, tu consacres l'essentiel de ton temps à tes études. Mais quelle part réserves-tu à l'essentiel ? Faire de la théologie n'est pas réservé aux auteurs compliqués ou aux prédicateurs ennuyeux ! C'est simplement penser que son intelligence sert non seulement à réussir ses exams et acquérir quelques compétences professionnelles, mais aussi et surtout à creuser le mystère de Dieu, pour mieux le connaître et donc pouvoir mieux l'aimer !

Encore un concours ?

Voilà l'aventure : mettre ses neurones au service de sa foi ! Le faire de façon détendue, se prendre au jeu, et peu à peu redécouvrir la splendeur de la Vérité, à la suite de ceux qui nous l'ont révélée… C'est la raison pour laquelle nous te proposons de te lancer à l'occasion d'un petit concours ; et comme il n'y a pas de raison que l'intelligence soit moins récompensée en théologie que dans n'importe quelle matière scolaire, tu as même l'opportunité de remporter des prix exceptionnels... dont le premier t'emmènera à Rome pour un WE avec deux de tes amis !

Alors... il faut que je m'inscrive ?

Bien sûr ! Lycéen ou étudiant de moins de 25 ans, ce concours est fait pour toi. Rassure toi : ce n'est pas réservé aux 1ers de classe : on peut être nul en maths et s'éclater en théologie ! C'est une question de motivation plus que de connaissances... Et pour participer, rien de plus facile : pas besoin de réviser une pile de cours. Arme-toi seulement de ton Catéchisme de l'Eglise Catholique (si tu en as pas, il est sur internet : http://viechretienne.catholique.org/cec/ ), de ta Bible ( http://bible.catholique.org/) et fonce !

N'hésite pas, tu n'as rien à perdre et tout à y gagner !

 


Message posté le 02-11-2006 à 19:07  Auteur: Montoire
Citation:
1 Cor 6,19 :
Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes ?

 


Message posté le 02-11-2006 à 19:02  Auteur: Montoire
Ben faut voir. disons les parutions depuis 90 devraient convenir.
Message posté le 02-11-2006 à 18:00  Auteur: Montoire
Recherche à récupérer tous carnets dont vous ne vous servez plus.

cmdamat ché hotmail point com

 


Message posté le 27-10-2006 à 18:01  Auteur: Montoire
ENJEU REEL ET PRISE DE CONSCIENCE IMPERIEUSE : Le gouvernement ouvre les portes de l'hôpital au lobby de l'euthanasie !

Citation:
Le ministre de la Santé vient d’habiliter officiellement une association du lobby de l'euthanasie légale - l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD) - pour représenter dans toute la France les usagers dans les conseils d’administration et les commissions des usagers des hôpitaux ! Arrêté ministériel publié au journal officiel du 24/08/06.

Voudriez-vous, en cas d’hospitalisation de vous-même ou d’un proche, être représenté à l’hôpital et «défendu» par les promoteurs de l’euthanasie légale dont l’idéologie considère qu’une vie diminuée ne vaut pas la peine d’être vécue ? Nous avons découvert que certains hôpitaux ont anticipé la décision ministérielle et que 50% voire 100% de leurs représentants des usagers sont issus de l’ADMD (cf. l’enquête de T. Derville à lire sur http://www.adv.org ).

Pour réagir à ce scandale, l’Alliance pour les Droits de la Vie vient de déposer un recours en annulation auprès de la juridiction administrative. Mais, en attendant le jugement, il faut faire barrage à l’infiltration du lobby de l’euthanasie dans l’hôpital, faire pression sur le Gouvernement et les directions d’hôpitaux.


Participez immédiatement à l’Alerte générale :

- en signant en ligne l’Appel national : "Non au lobby de l'euthanasie dans l'hôpital www.adv.org/appel ;

- en rediffusant l'Alerte générale de toute urgence à votre carnet d’adresse avec un mot personnalisé qui incitera vos contacts à signer et relayer l’alerte.

Une mobilisation massive dissuadera les autorités publiques de nommer les promoteurs de l'euthanasie légale pour les représenter. Si la présence de l’ADMD à l’hôpital fait scandale, les directeurs des hôpitaux renonceront à désigner ses membres dans leurs instances.

Je compte sur vous,

Xavier Mirabel, Cancérologue
Président de l’Alliance pour les Droits de la Vie
Porte-parole du Non au lobby de l'euthanasie dans l'hôpital.

 


Message posté le 27-10-2006 à 02:15  Auteur: Montoire
La cloche qui est tombée du mât...

 


Fuseau: Soirées Rallyes Forum: Divers
Message posté le 25-10-2006 à 17:28  Auteur: Montoire
Citation:
Le 2006-10-25 17:25, Coco a écritEst ce que cet "amusement" me grandit ? Ca peut! et oui, cela t'entrainne à résister au tentation! lol! Plus serieusement, cela t'apprend tout de même à respecter les rêgle d'un groupe.

Pas vraiment besoin des rallyes pour cela...

Citation:
Est ce qu'il grandit ceux qui m'entourent ? Si tu es quelqu'un de vrai, oui. Car les gens que tu rencontre en soirée sont pour beaucoup un peu perdu, ou alors rester à un stade où l'amusement et les excès sont rois. Et donc, à ton contact, si tu es quelqu'un de mesurer et je le redis de vrai, ils ne pourront qu'être grandi!

Ca c'est pas faux : Partout où il y a un scout, à la maison, à l'usine, à la soirée de la comtesse de Corvées de Chiottes de Mainmatin de Boneur, il FAUT qu'il y ait quelque chose de changé
Message posté le 25-10-2006 à 17:25  Auteur: Montoire
Que nos lecteurs se rassurent, je n'ai AB SO LU MENT pas la même définition d'un rallye.

L'ouverture est quelque chose de fondamental, et, si on peut s'assurer de ne pas perdre sa nature ou son identité, il faut la garder.

Parce que après, y en a qui vont appliquer le même raisonnement au scoutisme.
Message posté le 25-10-2006 à 17:00  Auteur: Montoire
Citation:
Le 2006-10-25 14:14, Chamois DLC a écrit
Sa commence par les rallyes, sa finit dans les boites ?!

En tous cas y a un truc qui est sûr, tu séchais les cours de grammaire quand tu avais 8 ans...

La recherche n'a été exécutée que sur les 100 premiers fuseaux.
Voulez-vous étendre la recherche à tous les fuseaux (temps plus long) :
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