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Le 2009-03-05 13:26:00, Grizzly_90 a écrit :

Mais il y en a plus d'un, Dingo...

Tiens, amène Luc ici, d'ailleurs, peut-être qu'il arrêtera de postillonner sur l'AGSE pendant ce temps-là !

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Dieu peut tout : il tient en mains non seulement la félicité et les sort des peuples, mais aussi les conseils humains ; et du coté qu’il veut, doucement il les incline ; les obstacles même sont pour sa toute-puissance des moyens dont il se sert pour modeler toute les choses et les événements, tourner les esprits et les volontés libres à ses fins très haute.

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Ceux qui ne sont pas né de la chair et du sang, ni d’une volonté charnelle, ni d’une volonté d’homme, mais qui sont né de Dieu doivent offrir au Père la volonté unanime de fils, artisans de Paix.
Ceux qui sont devenus par adoption, les membres du christ sauveur doivent accourir pour rejoindre ensemble le premier né de la « nouvelle création », celui qui est venu faire non pas sa propre volonté, mais la volonté de celui qui l’envoie.

Les héritiers que la grâce du père adopte ne sont pas des héritiers divisés ou disparate. Ils ont le même Amour, Ceux qui sont recrées selon l’image unique doivent avoir une âme qui lui ressemble.

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Aux âmes contemplatives, c’est un véritable purgatoire que cause la majesté divine lorsqu’elle se fait connaitre ; se sentir impures en présence de la sainteté infinie, voilà pour ces âmes le comble de la souffrance. Toute peine parait douce en compagnie de celle –là.
On trouve un exemple frappant dans les écrits de Sainte Marguerite-Marie.

« J’éprouvais une tel désespoir et une douleur si grande de paraître devant mon Dieu, que j’aurai voulu mille fois m’abimer, me détruire et m’anéantir… Ma peine ressemblait à celle des âmes du purgatoire…, car nonobstant cet ardent désir qui me consumait, mon divin Maître me faisait voir mon indignité à le loger dans mon cœur… La sainte communion m’était si douloureuse qu’il me serait difficile de dire la peine que je sentais en approchant Jésus Christ au saint Sacrement avec tant d’indignité que je souffrais une espèce d’agonie… »

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Quelle joie, quelle consolation pour toutes les âmes désireuses du pur amour de n'avoir à faire pour s'y disposer, que ce que tout chrétien et tout homme tant soi peu raisonnable est obligé de faire : entrer dans l'horeur de l'offense de Dieu et sortir hors de l'attache volontair à ses imperfections.
C'est donc la première disposition au pur amour, que l'horreur de l'offense de Dieu ; mais horreur telle, qu'elle nous fasse abhorrer et les grandes et les petites offenses, et les mortelles et les vénielles, dans cette vue que toutes sont offenses à Dieu, quoique toutes ne nous nuisent pas également.
Mais il y a encore une deuxième disposition : sortir et se mettre hors de toute l'affection et de toute l'attache volontaire que chacun peut avoir avec ses propres défauts. Si bien que l'âme qui veut entrer et s'établir dans cet état du pur amour doit être intérieurement dans cette disposition à l'égard de ses imperfections et défauts journaliers : premièrement, qu'ils lui soient un sujet de croix et de gémissements, bien plutôt que de complaisance ; secondement, qu'elle offre tous les jours à Dieu quelque mortification, à cette fin qu'il lui plaise de la délivrer et la tirer de ses imperfections ; et en troisième lieu, qu'à tel prix et telle condition qu'il lui plaira, elle lui demande et le conjure de vouloir l'affranchir de tout ce qu'il y a en elle de défectueux et d'imparfait.
Alexandre Piny

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"un jeune homme venait rendre visite chaque jour à un ermite, lui répétant sa demande "parles moi de Dieu". Et l'ermite demeurait les yeux clos, plongé dans sa méditation. Au bout d'un mois, le jeune homme excédé souleva l'ermite et lui cria "Quand me parleras tu de Dieu". Alors, l'ermite se leva, saisi le jeune homme et le mena en silence jusqu'à une rivière profonde. Il entra dans la rivière et saisissant le jeune homme par les épaule, le maintient sous l'eau avec vigueur. Le jeune homme se débattit de toute se forces et malgré la résistance de l'ermite, il parvint à se dégager, suffoquant. L'ermite lui demanda, "que désirais tu tout à l'heure?" "Respirer" suffoqua le jeune homme.

"He bien quand tu désireras connaitre Dieu avec cette intensité, je t'en parlerais." (Stan rougier)

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«Un homme libre et responsable»

Dieu n’aurait il pas pu inventer un univers sans imperfections ? L’a-t-il conçu avec un mal et un bien préexistant ??? Ne pouvait-il pas créer un monde où l’homme aurait été libre. Mais où ses actes mauvais n’auraient pas atteint une telle puissance de destruction.
Si nous reprenons la Bible, que voyons-nous ?
du néant, Le très haut fait jaillir la vie. Il crée le ciel, la terre, les océans, le soleil, la lune, les étoiles, le monde végétal, le règne animal. Cette corbeille de mariage, il la met aux pieds du premier couple, couronnement de sa création : «tout cela t’appartient, tu pourras te servir de tout». Et il ajoute : «de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, tu ne mangeras pas» (Gn 2, 16-17.) Faisant ainsi de l’être humain son partenaire, son vis-à-vis, lui offrant le cadeau qui dépasse tout les autres : La liberté. Il ne s’agit plus d’une «histoire de pomme» ni une «histoire de sexe», mais d’une possibilité pour l’homme de se situer hors de Dieu ou d’accueillir sa présence.

stan Rougier