L'Assemblée générale décide d'une part :
‐ de mettre fin à l'expérimentation Patrouilles maintenant et d'arrêter la réflexion cherchant à introduire et déployer une proposition unitaire dans le mouvement
‐ de ne plus ouvrir de nouveaux groupes Patrouilles
‐ par respect pour les jeunes et les adultes engagés dans cette démarche, et par fidélité à notre engagement collectif, de continuer d'accueillir et d'accompagner les 8 groupes Scouts et Guides de France existants qui mettent en oeuvre la pédagogie Patrouilles actuelle. Ils bénéficieront d'un accompagnement spécifique par des chargés de mission nationaux. Ils continueront à être intégrés dans l'organisation et la vie habituelle de leur territoire sous la responsabilité et l'autorité du DT.
Fin de la Proposition Patrouilles chez les SGdF.
Les gamins, les chefs et cheftaines : changez ou tirez-vous !
Les parents de ces gamins : barrez-vous !
J'ai une pensée émue pour ces familles qui ont cru au Scoutisme Français et son sempiternel discours d'ouverture. Posture et mensonges. Comme d'hab'.
Je plains de tout cœur Marie-Hélène, Geneviève, Bertrand et tous les moins connus qui ont fait confiance aux Scouts et Guides de France.
Ils y ont cru, ils se sont investis sans compter ... on les a lourdé comme des malpropres.
Les "Vrais" scouts ont, une fois de plus, montré comment ils considèrent ceux qui ne sont pas "eux".
Sur d'autres fora, les hypocrites de tout poil, les affabulateurs de leur propre passé scout, commencent à dire que le chien qu'on a noyé avait la rage et que c'est bien de sa faute si on l'a noyé.
Il n'était pas assez malléable, trop rigide, il n'écoutait pas suffisamment les bavards du Net, il était trop droit, trop loyal, il ne léchait pas avec suffisamment de conviction les baskets de ceux qui le haïssaient au motif de sa simple existence.
A ceux-là, à ces lâches, à ces hypocrites de la toile, à ceux qui sont toujours du côté des plus forts tout en posant toujours aux redresseurs de torts, aux indépendants et aux rebelles, je formule mon plus profond mépris.
Le courage, fut-il politique, n'est pas héréditaire.