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"Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être !
Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !"
(Ce poème-ci touche au sublime... ceux qui ne trouveront pas n'ont aucun goût ! )

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"Quelle âme est sans défauts ?"
(Si j'en mets davantage, c'est vraiment trop facile ! )

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"Ajoutez cette grâce à tant d'autres bontés,
Madame ; et si jamais je vous fus cher..."
"Sortez."
(A priori, plus difficile...)

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Citation:

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Le 2006-01-27 20:20, coyote puant a écrit

"Belle, sans ornements, dans le simple appareil,
d'une beauté qu'on vient d'arracher au sommeil"

connu...

"Mon armée ? ah, poltron ! ah, traitre ! pour leur mort,
tu crois donc que ce bras ne soit pas assez fort ?
Le seul bruit de mon nom renverse les murailles,
défait les escadrons, et gagne les batailles !
Mon courage invaincu contre les empereurs
n'arme pas la moitié de ses moindres fureurs ;
d'un seul commandement que je fais aux trois parques,
je depeuple l'etat des plus heureux monarques.
La foudre est mon canon, le destin mes soldats ;
je couche d'un revers milles ennemis a bas.
D'un souffle je reduis leur projet en fumée,
et tu m'oses parler simplement d'une armée ?
Tu n'auras plus l'honneur de voir un second Mars ;
je vais t'assassiner d'un seul des mes regards,
veillaque ! toutefois je songe a ma maitresse.
Ce penser m'adoucit. Va, ma colère cesse.
Et ce petit archer qui dompte tous les dieux
vient de chasser la mort qui regner dans mes yeux.
Regarde, j'ai quitté cette effroyable mine
qui massacre, détruit, brise, brûle, extermine,
et songeant au bel oeil qui tient ma liberté,
je ne suis plus qu'amour, que grâce, que beauté !"

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Citation:

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Avez-vous lu TOUT le fuseau avant de répondre ?

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Citation:

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Le 2006-01-27 22:30, Mang a écrit

"un songe,
me devrais-je inquièter d'un songe?
entretient dans mon coeur un chagrin qui le ronge.
je l'évite partout, partout il me poursuit."

facile..

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Citation:

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Le 2006-01-28 11:29, Manège a écrit

(A vrai dire, je ne m'attendais pas à ce que quelqu'un trouve : mon Dieu, qui lit encore Jules Laforgue ?!)

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Citation:

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Le 2006-01-28 11:40, Manège a écrit

Quelques autres pour la route ?! Parmi les plus faciles...

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"Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être !
Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !"
(Ce poème-ci touche au sublime... ceux qui ne trouveront pas n'ont aucun goût ! )

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C'est du Baudelaire, c'est certain, je ne retrouve plus le poème...

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"Quelle âme est sans défauts ?"
(Si j'en mets davantage, c'est vraiment trop facile ! )

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A tout hasard, Molière...

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"Ajoutez cette grâce à tant d'autres bontés,
Madame ; et si jamais je vous fus cher..."
"Sortez."
(A priori, plus difficile...)

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Plus difficile dans quel sens? C'est un auteur peu connu ou bien c'est la citation qui est dure à retrouver?

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Daniel __ Vous ne comprenez pas? Donner à un carrossier l'occasion de sauver son semblable, sans danger pour lui, c'est un coup de maître! Aussi, depuis ce jour, je suis sa joie, son triomphe, son fait d'armes! Dès que je parais, sa figure s'épanouit, son estomac se gonfle, il lui pousse des plumes de paon dans sa redingote... Je le tiens! comme la vanité tient l'homme...

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Citation:

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Le 2006-01-28 11:40, Manège a écrit

Quelques autres pour la route ?! Parmi les plus faciles...

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"Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être !
Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !"
(Ce poème-ci touche au sublime... ceux qui ne trouveront pas n'ont aucun goût ! )

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C'est du Baudelaire, c'est certain, je ne retrouve plus le poème...

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Citation:

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Le 2006-01-28 20:01, coyote puant a écrit
c'est un poème de baudelaire dédié à une passante ... effectivement, il faut n'avoir pas de goût pour apprécier un des seuls poèmes de cet homme qui ne donne pas envie de se pendre !

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Citation:

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Le 2006-01-28 19:45, Musaraigne a écrit

Allez, quelque chose de plus léger, mais tout aussi difficile à trouver!

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Daniel __ Vous ne comprenez pas? Donner à un carrossier l'occasion de sauver son semblable, sans danger pour lui, c'est un coup de maître! Aussi, depuis ce jour, je suis sa joie, son triomphe, son fait d'armes! Dès que je parais, sa figure s'épanouit, son estomac se gonfle, il lui pousse des plumes de paon dans sa redingote... Je le tiens! comme la vanité tient l'homme...

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Le nom du carrossier dont il est question dans cette tirade fait l'objet du titre de la pièce de théâtre... (quelques indices quand-même!!)

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Citation:

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Le 2006-01-29 20:01, Musaraigne a écrit

Je ne connais pas assez Racine pour répondre...

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Citation:

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Le 2006-01-28 22:34, Musaraigne a écrit

Mais je ne veux pas non plus offenser ta culture littéraire qui me semble assez large, en laissant supposer ici que tu ne connais pas les "Petits Poèmes en prose" de Baudelaire!!

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"la premiere fois qu'il vit Bérénice, il la trouva laide"

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"Il pleure dans mon coeur
Commeilpleut sur la ville
Quelle est cette langueur
qui penetre mon coeur

O bruit doux de la pluie,
par terre et sur les toits
pour un coeur qui s'ennuie,
O le chantde la pluie

Il pleure sans raison
dansce coeur qui s'écoeure
Quoi! Nulle trahison,
Ce deuil est sans raison

C'est bien la pire peine
de ne savoir pourquoi!
Sans amour et sans haine
Mon coeur a tant de peine.

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Nascitur Arabiis ingens in collibus infans,
Et dixit levis aura: « Nepos est ille Jugurthae... »

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Chanson d'automne

Les sanglots long
Des violons
De l'automne
Blessent mon coeur
D'une langueur
Monotone.

Tout suffocant
Et bleme, quand
Sonne l'heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure ;

Et je m'en vais
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deça, delà,
Pareil a la
Feuille morte.

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